L'Univers



L'Univers se mesure en milliards d'années de vie, milliards d'années-lumière de diamètre, milliards de Galaxies... Gigantesque par rapport à un être humain ; pourtant il n'est qu'une petite partie d'un Multivers beaucoup plus grand.

Pour comprendre réellement l'Univers, il faut aussi tenir compte du fait qu'il n'est pas tout seul, et que les autres ont une influence sur lui.

L'Univers a eu un commencement et il aura une fin ; et, entre les deux, il aura une multitude de spectacles et de merveilles.


La naissance

Pour étudier l'origine d'un lac, d'une forêt, d'une montagne ou d'un village, vous êtes obligé de tenir compte du fait qu'ils sont connectés avec d'autres choses. Imaginez-vous, tenter de comprendre votre propre naissance en partant « de la prémisse » que vous êtes sorti d'un « instant 0 », et qu'avant vous, il n'existait rien ! Forcément, ce sera très difficile d'en trouver, ainsi, les bonnes réponses !

0 (x) → 1 (x) !, soit 0 ↔ 1 Ce n'est pas logique

1 (x) → 1 (x), soit 1 ↔ 1 Ça, oui, c'est logique

Même si l'Univers est très grand, pour le comprendre vraiment, il faut tenir compte du contexte dans lequel Il existe, où Il a pris naissance et Il évolue.

Bien avant le printemps, avec ses fleurs, c'est la germination de la vie au sein de l'hiver. Avant la naissance, il y a une fécondation et une gestation.

L'Univers précédent - celui d'avant le nôtre - s'approche de sa fin ; toute sa matière est concentrée dans la zone centrale, compressée par un champ G très puissant ; sa structure est relativement aplatie...

...

C'est le Big-bang - beaucoup d'énergie concentrée, qui explose...

Pour ce qu'il s'est passé à partir de 380 000 années, vous avez déjà de bonnes connaissances (mis à part quelques interprétations erronées vis-à-vis de l'énergie et de la matière noire) ; mais pour la naissance, (vous les astrophysiciens qui n'ont pas encore lu La Théorie D) vous êtes dans la pure fantaisie ! En commençant par la taille, un point minuscule, puis un pamplemousse... Mais, grâce à la Théorie D, vous allez comprendre la naissance de l'Univers de manière logique.

La taille de la boule d'énergie de départ est beaucoup plus importante que ce que l'on vous a dit ! Nous pouvons connaître assez clairement la dimension de l'Univers à sa naissance grâce à plusieurs données suffisamment précises, la moins précise étant la quantité totale de son énergie (baryons + photons + énergie noire...) Nous allons commencer par trouver la limite base et la limite haute ; la limite base est celle où toutes les particules D sont en tension maximale, soit l'équivalent de l'énergie totale de l'espace ; la limite haute est celle où la concentration d'énergie est encore suffisante pour que les quarks puissent s'associer pour former des nucléons. La masse de l'électron multipliée par le nombre de particules D (chapitre 1) nous donne la masse - ou la quantité - d'espace : 9,109 x 10^-31 x 1,886 x 10^60 ≅ 1,718 x 10^30 kg par mètre cube d'espace. Si l'Univers a environ 10^53 kg de matière alors la taille minimale, en mètres cubes, qu'Il aurait pu avoir à sa naissance est de :

10^53 / 1,718 x 10^30 ≅ 58,2 x 10^21 m^3

Le diamètre minimal (issu du 4/3 x π x rs^3...) étant d'environ 4,8 x 10^7 mètres, soit 48 000 000 m ; c'est presque 4 fois le diamètre de la Terre, 12 742 000 m.

La taille maximale que l'Univers aurait pu avoir à sa naissance est celle où la concentration d'énergie est encore suffisante pour que les nucléons puissent se former : F N proton = 1,153 x 10^5 j/s pour une taille de 1,3 x 10^-15 mètres ; c'est-à-dire une concentration totale d'énergie de 1,503 x 10^-10 j/s, ou 1,6726 x 10^-27 kg (chapitre 2). Par conséquent, pour que ces nucléons puissent se former, nous avons besoin d'une concentration d'énergie qui nous donne une masse d'au moins 1,6726 x 10^-27 kg dans chaque volume d'un nucléon (1,3 x 10^-15 m de diamètre) ; dans un mètre cube il faut cela d'environ 10^45 de fois (soit : (4/3 x π x (rs)^3 = 4/3 x π x (0,65 x 10^-15)^3 = 1,15 x 10^-45 m^3 pour chaque nucléon ; dans un mètre cube nous avons : 1/1,15 x 10^-45 = 0,87 x 10^45 nucléons). Chaque proton possède une masse de 1,6726 x 10^-27 kg, par conséquent : 0,87 x 10^45 x 1,6726 x 10^-27 kg = 1,455 x 10^18 kg / m^3

Théoriquement, un Univers d'environ 10^53 kg (pour contenir 10^80 nucléons, soit 5,4/m^3...) aurait pu avoir à sa naissance, une taille maximale, en m^3, de :

10^53 /1,455 x 10^18 ≅ 68,7 x 10^33 m^3

Soit un Univers d'un diamètre d'environ 5 x 10^11 mètres ; c'est la taille d'une étoile géante ou approximativement 2 x la distance Soleil-Mars : 228 000 000 000 m. Donc, nous savons qu'à sa naissance, théoriquement, l'Univers de 10^53 kg pouvait avoir entre 4,8 x 10^7 et 5 x 10^11 mètres de diamètre (10^9 m étant le diamètre d'une étoile moyenne comme le Soleil : 1 392 684 000 mètres).

Mais, en tenant compte de l'énergie cinétique que l'Univers avait à sa naissance, du fait qu'une compression maximale n'est pas réalisable en pratique, que la formation de quarks, puis la nucléosynthèse primordiale furent accompagnées de la présence de l'énergie d'environ 10^90 photons (10^10 fois plus que les baryons), que l'expansion, très rapide, n'a permis que la formation (par entrechocs) de noyaux légers, jusqu'à 7Li et que l'énergie noire est de beaucoup supérieure à l'énergie totale de la matière... nous pouvons affirmer que sa taille minimale est supérieure à 4,8 x 10^7 m ; et la taille maximale supérieure à 5 x 10^11 m.

Pour connaître avec plus de précision la dimension de l'Univers à sa naissance, il faut savoir aussi quelle était la Force G qui a comprimé l'Univers précédent. C'est la fameuse énergie noire qui nous indique approximativement la Force G qui était à l'œuvre à la naissance de l'Univers...

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(Plus d'informations dans La Théorie D)

Autant la pression interne que la Force G de l'Univers précédent - qui était en fin de vie - agissaient sur la surface de la même sphère... Quand l'Univers précédent descend en dessous de la dimension maximale théorique, d'environ 1,1 x 10^12 m de diamètre, Il entre dans une phase critique (analogue à celle de grandes étoiles qui ont consumé tout leur combustible) : les quarks liés par des connexions de type CN3 se retrouvent tellement comprimés que leurs liens sont sur le point de céder ; mais ils sont tous emprisonnés comme dans un grand cristal... Cela fait en sorte que les quarks, au lieu de se désintégrer, peuvent passer sur des connexions de type CN2... Ces connexions sont beaucoup plus fortes que les précédentes (4π, soit 12,566 x plus) et demandent beaucoup d'énergie - ce sont des connexions endothermes (comme avec le Fer, au cœur d'étoiles massives). C'est ainsi que l'Univers précédent s'effondre sur son propre poids...

Cet effondrement ne dure que quelques instants, extrêmement brefs. Car sans stabilité - la stabilité du cristal, qui les a obligés à se connecter par CN2 - les quarks ne peuvent plus garder ce type de connexions, qui est très instable. Par conséquent, l'Univers explose... avec une vitesse extraordinaire.

En résumé, dès que les quarks du centre de l'Univers ont commencé à établir des connexions de type CN2... il se produit une implosion suivie instantanément de L'Explosion primordiale : Le fameux Big-bang.

C'est à partir de 1,1 x 10^12 m de diamètre que l'Univers précédent (de 10^54 kg) possède, partout en son sein, le potentiel pour que les quarks connectés par CN3 puissent se former. Evidemment, il reste des quarks de la création précédente, mais la plupart viennent de se former à partir de l'énergie de l'espace... L'énergie est beaucoup plus concentrée vers le centre, où les quarks peuvent déjà se former quand l'Univers précédent est encore beaucoup plus grand ; cependant, via des réactions nucléaires et explosions, le centre résiste aux pressions, jusqu'au moment où commencent les enclenchements de type CN2 à grande échelle.

A sa destruction, la dimension de l'Univers précédent est descendue en dessous de 1,1 x 10^12 m de diamètre, mais pas de beaucoup ; car, aussitôt l'implosion s'enclenche... aussitôt l'explosion survient...

Calculer cela à partir de potentiels entre les enclenchements de type CN3 et CN2 est trop compliqué et moins précis. Par une méthode plus directe (sous-chapitre 4.4), nous avons déjà la taille maximale de l'Univers (5,3 x 10^31 mètres de diamètre), où se trouve la limite iD de Celui-ci. Puis un Univers, harmonieux, respecte les mêmes lois fondamentales que les particules élémentaires ; à partir de la relation électron = h/dD, nous avons le rapport fondamental dispersion-concentration d'énergie 1/dD = 1,23559 x 10^20 ; le diamètre minimal multiplié par ce facteur nous donne le diamètre maximal de l'Univers :

Diamètre minimal de l'Univers x le rapport fondamental = Diamètre maximal de l'Univers

Diamètre minimal de l'Univers x 1,23559 x 10^20 = 5,3 x 10^31

Diamètre minimal de l'Univers = 5,3 x 10^31 / 1,235 x 10^20

Diamètre minimal de l'Univers ≅ 4,3 x 10^11 m

Un diamètre de 4,3 x 10^11 mètres c'est un peu moins de la moitié de 1,1 x 10^12 m, la taille maximale théorique ; c'est parfaitement cohérent avec toutes les données. Ceci reste toutefois une approximation, car 10^54 kg pour l'Univers est aussi une approximation. Néanmoins, le rapport est correct et en concordance avec tout : connexions nucléaires, constante h, énergie de l'électron, distance dD, dimension actuelle de l'Univers... Avec 4,3 x 10^11 mètres de diamètre, à sa naissance, notre Univers avait approximativement le diamètre de l'orbite décrite par la planète Mars.

L'explosion primordiale - le Big-bang - qui donne naissance à notre Univers, est tellement violente qu'elle détruit, dans un premier temps, quasiment tous ses quarks ; mais dans l'instant suivant - dès que l'énergie, la Température, le permet - ils renaissent, et une nouvelle épopée commence... Pour éviter les confusions, je précise qu'à sa fin, l'Univers précédent est constitué majoritairement par de l'énergie pure (un peu comme un trou noir bouillonnant d'énergie), non pas de quarks ! C'est la pression qui permet la naissance de quarks.

À la naissance de l'Univers, sa Force Gravitationnelle se brise sur sa propre pression et génère sa propre expansion...

L'Action et la Réaction sont intimement liées.

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Si la vie d'un Univers est équivalente à une respiration complète (inspiration + expiration) alors cet Univers est né à la moitié d'une inspiration (remplissage en énergie), son enfance et sa jeunesse sont la deuxième moitié d'inspiration ; sa vie d'adulte sera une expiration longue et paisible (le déversement d'énergie vers l'extérieur) ; et sa vieillesse sera la moitié d'une nouvelle inspiration...

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Si l'on multiplie le nombre de secondes de son âge - pour 13,8 milliards d'années il y a environ 4,35528 x 10^17 secondes (3,156 x 10^7 secondes dans une année) - par la vitesse de la lumière (299792458 m/s), nous avons l'horizon visible de notre Univers :

1,38 x 10^10 x 3,156 x 10^7 = 4,355 x 10^17 secondes d'âge

2,99792458 x 10^8 x 4,355 x 10^17 = 1,305 x 10^26 m d'horizon visible

Le diamètre de l'horizon visible = 2 x rs = 2 x 1,305 x 10^26 = 2,61 x 10^26 m

Notre Univers a connu, à sa naissance, une explosion... puis il s'est inscrit dans une expansion en accélération, mais durant longtemps - quelques milliards d'années - son expansion totale était inférieure à la vitesse de la lumière (pour la simple raison qu'il était encore de taille réduite) ; ainsi, l'horizon observable est beaucoup plus important, car la lumière émise par les Galaxies il y a des milliards d'années n'a pas subi les effets de toute l'expansion... Sa dimension réelle est aussi plus importante. Actuellement, les estimations les plus précises (d'après le décalage vers le rouge, la distance entre Galaxies, etc.) indiquent que notre Univers possède un diamètre d'approximativement 7,83 x 10^26 mètres (soit environ 82,7 milliards d'années-lumière). Comme il peut se remplir en particules D de partout, son expansion totale peut dépasser largement la vitesse de la lumière sans que cela soit perceptible à échelle locale.

Avec la constante d'Hubble (H0 ≅ 72 km / s / Mégaparsec ; un parsec = (648 000/π) Unités Astronomiques ; une UA = 149597870700 m ; un parsec = 3,08567758 x 10^16 m ; un Mégaparsec = 3,08567758 x 10^22 m ; C / H0 = 2,99792458 x 10^8 / 7,2 x 10^4 ≅ 4163 Mégaparsecs d'horizon... ; 4163 x 3,08567758 x 10^22 = 1,2848 x 10^26 m) nous trouvons une expansion de l'Univers de :

72 (km) x 3,156 x 10^7 (secondes/années) = 2,2723 x 10^12 mètres / année / Mégaparsec

Un Mégaparsec étant de 3,08567758 x 10^22 m, l'Univers de 7,83 x 10^26 m possède :

7,83 x 10^26 / 3,08567758 x 10^22 = 2,53753 x 10^4 Mégaparsecs de diamètre

D'où, actuellement, une expansion totale de l'Univers d'environ :

2,2723 x 10^12 x 2,53753 x 10^4 = 5,766 x 10^16 mètres par année

Ainsi, avec une expansion de moins d'un millimètre (environ 0,736 x 10^-3 m) par an et par 10 000 kilomètres (10^7 m) d'espace, dans un Univers de 7,83 x 10^26 m de diamètre, l'expansion totale est déjà approximativement 6 fois plus importante que la distance parcourue par la lumière durant la même période :

Distance parcourue par la lumière dans une année :

2,99792458 x 10^8 x 3,156 x 10^7 = 9,46 x 10^15 mètres

7,83 x 10^26 / 9,46 x 10^15 = 82,7 milliards d'années-lumière

L'expansion de l'Univers, avec 0,736 x 10^-3 m / 10^7 m / année :

(0,736 x 10^-3/10^7) x 7,83 x 10^26 = 0,736 x 10^-10 x 7,83 x 10^26 = 5,766 x 10^16 m

L'année-lumière de 9,46 x 10^15 m < 5,766 x 10^16 m d'expansion de L'Univers par année

Durant quelques milliards d'années - l'Univers était d'une taille inférieure à 4163 Mégaparsecs d'horizon (soit 1,2848 x 10^26 m), de plus, l'expansion était inférieure à 72 km / s / Mégaparsec car la Force G entre Galaxies était plus importante... - l'expansion totale de l'Univers était inférieure à la distance parcourue par la lumière (9,46 x 10^15 mètres/année) ; c'est pour cela que nous avons toujours un aperçu sur les Galaxies qui sont actuellement en dehors de notre horizon visible ; car la lumière provenant de coins les plus éloignés a eu largement la possibilité de s'approcher de nous...

En ce qui concerne l'Energie totale de l'Univers, nous avons son mC^2 classique, interne, plus une partie de son mC^2 externe (l'énergie externe dont seulement 1 fraction, 1/gd, devient de la Force G), plus son mV^2 (son énergie cinétique, ou plutôt la somme de toutes les énergies cinétiques qui se trouvent en lui), plus toutes les ondes électromagnétiques (les énergies libres) plus l'énergie noire ou la Force G externe qui emplit l'Univers en particules D :

EU = mUC^2 + FG U + mUV^2 + EL + F G U externe

EU - l'énergie totale de l'Univers

mU - masse de l'Univers (la masse de ses composantes)

V - vitesse cinétique de l'Univers, ou de toutes ses composantes

FG U - la Force Gravitationnelle interne de l'Univers

EL - la totalité des ondes électromagnétiques...

F G U externe - la Force G externe ou l'énergie noire

Pour calculer l'évolution de l'Univers, nous devons mettre en bon rapport toutes les forces impliquées ; y compris l'énergie noire, qui est sa Force G externe

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La Force qui engendre l'expansion de l'Univers est la Force G de celui-ci.

Le même effet n'arrive pas pour des corps réduits, comme les atomes, car ils ont une structure relativement définie, délimitée et limitée, où la Force G se disperse rapidement, sans changer les caractéristiques de particules ; tandis que l'Univers est si vaste que l'effet de son énergie gravitationnelle peut être retenu en son corps.

L'effet de la Force G sur l'Univers est différent de l'effet que cette même Force G a sur les atomes ou les planètes :

1 - À l'intérieur de particules d'ordre atomique, la Force G a peu d'influence car son énergie se disperse constamment dans tout l'espace (elle ne peut pas se stabiliser autour d'énergies qui changent de place en permanence - d'où la division par gD - et elle ne peut pas influencer beaucoup ces particules qui s'unissent par des Forces, FN et FE, beaucoup plus concentrées)

2 - À échelle de planètes et étoiles, la Force G peut se centraliser et exercer la pesanteur que vous connaissez, et cette Force G est dispersée dans tout l'espace - où se trouve beaucoup de « vide » - car les circuits internes de la matière ne sont pas fixes ; cela permet la dissolution d'une grande partie de l'énergie externe, et la Force G reste assez limitée

3 - Autour d'une étoile noire se concentre une Force G extraordinaire parce que l'énergie qui compose ces corps est très concentrée...

4 - Puis, l'Univers est si vaste que sa Force G, qui agit plus sur l'espace que sur la matière, pousse de l'espace vers l'intérieur de l'Univers et engendre l'expansion de Celui-ci...

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D'autres Univers, une moitié, se dilatent eux aussi ; et les autres font le contraire...

L'évolution de notre Univers est composée de :

- une explosion,

- une expansion accélérée,

- une décélération (ralentissement de la dilatation),

- un arrêt, pour un instant, et un demi-tour,

- un repli en accélération,

- un repli en décélération,

- une implosion finale...

Après ces sept étapes - sans compter les passages, accélération-ralentissement - c'est une nouvelle germination (le pont entre une fin et un commencement), qui aboutira par une explosion, une nouvelle naissance...

Pour connaître la taille maximale, ou totale, de l'Univers - et calculer ainsi la durée de son expansion et de sa vie - il faut trouver la limite iD de l'Univers ; ...

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En considérant que la masse totale de l'Univers (baryons + photons + énergie noire...) est de 10^54 kg, nous avons une énergie totale de l'Univers de :

E de l'Univers = mC^2 ; EU = 10^54 x 8,98755 x 10^16 ≅ 8,98755 x 10^70 j/s

Avec cette énergie, la limite iD de l'Univers se situe sur la surface

d'une sphère, 4πrs^2, qui contient un nombre de particules D de :

Nombre de particules D sur la limite iD de l'Univers = EU / h

ND limite de l'Univers = 8,98755 x 10^70 / 6,626 x 10^-34

ND limite de l'Univers = 1,35639 x 10^104

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4,3 x 10^11 x 1,23559 x 10^20 = 5,31 x 10^31 mètres

Si la dimension maximale de l'Univers est de 5,3 x 10^31 m cela ne veut pas dire qu'il ira concrètement (avec son expansion) jusqu'à cette dimension ! Les particules élémentaires gardent la majorité de leur énergie dans leur centre... pour l'Univers c'est pareil. Il fera demi-tour à environ 10^29 m (actuellement, il est à moins de 10^27 m, il a encore de la marge). Sa dimension maximale, 5,3 x 10^31 m, reste son aire d'influence énergétique directe (il est directement connecté avec les Univers qui l'entourent, partageant une grande partie de sa périphérie), mais l'évolution interne de l'Univers sera dans un espace plus restreint.

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Après le ralentissement, c'est le demi-tour, le repli...

Durant la première partie du repli, l'Univers se vide de son trop d'énergie. La Force G de Celui-ci a changé de sens, et elle s'est orientée de l'intérieur vers l'extérieur. Progressivement, l'Univers se vide de son espace, comme un filet se vide de son eau... tandis que la matière reste en son intérieur, liée par sa propre Force G. Pareil que pour la phase de l'expansion, l'espace autant que la matière seront poussés par la Force G de l'Univers ; mais la matière - à cause de ses liens gravitationnels - sera expulsée vers l'extérieur moins rapidement que l'espace... Par conséquent, ce vidage d'énergie donnera naissance au repli de la matière qui compose l'Univers.

Le repli a un déroulement semblable à l'expansion, mais en sens opposé.

Durant l'expansion comme durant le repli, il y a une moitié des Univers (intriqués énergétiquement avec l'autre moitié) qui ont un mouvement opposé ; et ils interagissent énergétiquement les uns avec les autres.

La deuxième partie du repli sera un repli en décélération : la Force G change de nouveau de sens et l'Univers recommence à se remplir en énergie (tout comme en ce moment quand nous sommes dans la première phase d'expansion ; de fait, nous sommes encore dans la phase de remplissage en énergie de l'Univers précédent ; phase qui a débuté avec la deuxième partie de son repli). Cette décélération va continuer encore et encore... de sorte que l'Univers s'écrasera sur lui-même presque « en douceur ».

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L'espérance de vie de l'Univers est directement liée à sa dimension énergétique et la vitesse C de son évolution générale.

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5,3 x 10^31 / 2,99792458 x 10^8 ≅ 1,77 x 10^23 s

Il y a environ 3,156 x 10^7 secondes dans une année

1,77 x 10^23 / 3,156 x 10^7 ≅ 5,6 x 10^15 années

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Pour plus d'informations : La Théorie D