Les Quarks


Les Quarks et la Force nucléaire

Les quarks sont des électrons et positrons pressés les uns contre les autres ; liés les uns aux autres - dans une proximité très étroite - par l'énergie qu'ils échangent en permanence.

Par les connexions entre eux, les quarks obtiennent des masses et des dimensions supérieures aux électrons et aux positrons ; des dizaines de fois plus de volume et plusieurs centaines de fois plus de masse. Il est imprécis de parler de masses (1,7 à 3,3 MeV/C^2 pour le quark up, soit environ 5 x un électron, et 4,1 à 5,8 MeV/C^2 pour le quark down, soit environ 10 x un électron) et de dimensions de quarks pris séparément, puisqu'ils n'existent pas - leur temps de vie est extrêmement réduit - en tant qu'entités exclusives. Mais par groupes de trois les quarks forment les noyaux atomiques : les protons et les neutrons ; un de ces nucléons ayant approximativement 1 837 fois la masse d'un électron (1 836 x m électron ≅ m proton, et 1 838 x m électron ≅ m neutron). Donc : un quark + les connexions nucléaires qui lui correspondent est environ 612 fois plus lourd que l'électron ou le positron duquel il a pris naissance. Cela est tout à fait normal, compte tenu de connexions d'énergie - qui sont aussi des stocks d'énergie - qui se forment entre eux pour les unir.

Les quarks « u » (up) sont des positrons qui ont changé de forme à cause des échanges d'énergie, par des chemins directs et compacts, avec les autres quarks.

Les quarks « d » (down) sont des électrons, qui ont changé de forme à cause des échanges d'énergie, par des chemins directs et compacts, avec les autres quarks.

La Force très importante qui unit les quarks (par 3) c'est le résultat d'un flux d'échange d'énergie continu et relativement constant, qui sort de différentes parties positives de quarks pour rentrer dans les parties négatives...

Les corps et les pôles de chaque e- et e+ offrent plusieurs possibilités de connexions ; mais seulement quelques-unes donnent naissance à des particules vraiment stables. La stabilité de groupes de quarks varie de quelques instants pour les particules exotiques comme les quarks charme, srange, top... à l'éternel proton.

Par deux (comme des e- et e+, qu'ils sont), les quarks ne peuvent pas rester ensemble ; c'est soit la séparation, soit la destruction...

Par trois, c'est une tout autre chose ; et différentes possibilités d'assemblage se présentent. C'est par 3 que les quarks forment les noyaux les plus stables. Réfléchissez un peu au BO dans un espace 3D - avec des ⊖ et ⊕, qui se connectent par leurs lignes d'énergie - et vous allez facilement comprendre la logique de ces structures.

L'interaction forte, ou nucléaire, qui unie les quarks, est tout simplement le résultat des échanges d'énergie très directs et à des distances très réduites (autour de 1,3 à 2,6 fermi, 10^-15 m) ; alors que d'un électron au noyau il y a une distance moyenne de 5,29 x 10^-11 m.

Le facteur spécifique à l'interaction nucléaire est notamment le fait que les connexions sont, simultanément, électriques et magnétiques :

Les corps et les pôles de particules communiquent simultanément

À des distances comprises entre 1,3 x 10^-15 et 2,6 x 10^-15 mètres, les électrons et les positrons (devenus quarks) s'unissent simultanément par les échanges électriques de leurs corps et par les échanges magnétiques de leurs pôles (leurs spins). Plus proche que cela, la Force Nucléaire devient de la répulsion car les énergies de corps et de pôles entrent en interférence - et, comme les unes vont dans un sens et les autres dans l'autre sens, la Force d'attraction... devient rapidement de la répulsion. Plus loin, les pôles ne peuvent plus se connecter convenablement...

Les échanges réalisés entre les quarks se font beaucoup plus à proximité, et par des chemins beaucoup plus directs que les échanges entre noyaux atomiques et électrons. Puis comme les connexions sont simultanément électriques et magnétiques, la Réaction donnée par C-2 est entièrement intégrée dans la Force de l'Action. (Pour les interactions électriques et magnétiques, il faut à chaque fois extraire de C^-2 l'autre constante - ε0 = 1/C^2μ0 ≅ 8,854 x 10^-12 ou μ0 = 1/C^2ε0 ≅ 12,566 x 10^-7 - car nous avons soit une interaction magnétique soit une interaction électrique qui sera accélérée par l'alimentation en énergie d'un côté, et qui dispense l'autre côté de son apport ; et, comme une particule contient un champ magnétique et un champ électrique, l'accélération due à l'exemption d'énergies du sens opposé ne sera pas entière - ne sera pas C^2). Dans l'interaction nucléaire les corps et les pôles se connectent simultanément... et l'influence de C^-2 est entière.

Par conséquent, nous avons C^2 comme facteur d'accélération ou de multiplication de Forces Nucléaires en interaction. Soit 1/C^2 comme facteur de résistance (ou plutôt d'absence de résistance), en dénominateur.

Donc, l'interaction forte - qui engendre la Force Nucléaire - est une question de géométrie, de distances, de concentration d'énergies... et, comme d'habitude, de Réactions qu'il faut aussi prendre correctement en compte :

Force Nucléaire = C^2 x ...


Pour plus d'informations : La Théorie D, Editions Amalthée