L'électron


L'Électron

L'électron, e-, c'est la particule qu'on retrouve le plus dans notre Univers. Il y en a 1 (déformé), à l'intérieur, dans le noyau de chaque proton ; et un qui tourne autour du proton. Et il y en a 2 (déformés) dans chaque neutron.

L'électron est une zone d'espace où il manque une particule D :

Eadn - D = e-

  • Eadn - Espace avec densité normale
  • D - une particule D ; e- = un électron
  • dD - distance d'une particule D à une autre
  • eD - l'énergie d'une particule D, l'équivalent de l'énergie d'un électron

Si l'on divise l'énergie minimale h par la distance minimale dD, ou si l'on divise l'énergie maximale théorique sur une ligne de particules D par la totalité de la distance parcourue (tout cela en mètres et en secondes - nos unités de mesure standard) nous avons l'énergie d'un électron. Il faut comprendre le principe de la Force G et la Force cinétique, ou la Force E et la Force cinétique ou encore la Force N et la masse acquise... pour voir directement d'où vient cette relation, ...

e- = eD = h /dD

e- = 6,626 x 10^-34 / 0,81 x 10^-20

e- = 8,1871 x 10^-14 joules/seconde

511 KeV x 1 eV = (5,11 x 10^5) x (1,6021765 x 10^-19)

Effectivement, dispersée - ou calculée - à l'échelle du mètre l'énergie fondamentale, celle des particules D, nous donne la constante de Planck h ; et concentrée - ou calculée - à son échelle fondamentale, l'énergie fondamentale, celle des particules D, nous donne l'énergie d'un électron. Ce rapport dispersion-concentration d'énergie fondamentale est le socle de l'énergie dans la formation de particules.

1 / dD = le rapport fondamental dispersion-concentration d'énergie

Rapport fondamental dispersion-concentration d'énergie = 1,235 x 10^20

1,235 x 10^20 c'est le Nombre de particules D dans 1 mètre

1,235 x 10^20 x h nous donne aussi l'énergie d'un électron :

e- = 1,235 x 10^20 x 6,626 x 10^-34 = 8,187 x 10^-14 j/s

e- / h = 8,187 x 10^-14 / 6,626 x 10^-34 = 1,235 x 10^20

e- / ND par mètre = 8,187 x 10^-14 / 1,235 x 10^20 = 6,626 x 10^-34 j/s

8,187 x 10^-14 j/s est l'énergie d'une particule D à son échelle fondamentale (0,81 x 10^-20 m) ; et 6,626 x 10^-34 est l'énergie d'une particule D mais à l'échelle d'un mètre. Pour créer un électron, il faut l'équivalent de son énergie ; énergie condensée dans l'espace dD...

Masse approximative de l'électron : 9,1093829 x 10^-31 kg, soit 511 KeV / C^2

Charge électrique, négative, d'environ : - 1,6021765 x 10^-19 Coulombs, ou j/s

Dimension approximative : 10^-18 m (c'est la dimension approximative d'une zone centrale, non pas d'une taille précise ; la dimension du point central de l'électron c'est la distance dD : 0,81 x 10^-20 m.

Le rayon de Bohr, 0,529 x 10^-10 m, est la distance moyenne de l'électron en orbite autour d'un proton (rayon de proton + rayon de l'électron). Si toute l'énergie de l'électron provenait de l'extérieur à partir d'une sphère parfaite, celle-ci aurait un rayon d'approximativement 0,254 x 10^-10 mètres ; au-delà l'énergie serait trop faible - inférieure à iD - pour déplacer des particules D.

Autour de noyaux atomiques les électrons tournent généralement avec des vitesses de l'ordre du C/100, soit près de 3000 km/s.

Le noyau, le cœur de l'électron se concentre dans la zone où l'énergie convergente (qui possède une vitesse de 3 x 10^8 m/s) peut systématiquement retrouver ce noyau qui (autour d'un proton) oscille ou se déplace avec une vitesse moyenne de 3 x 10^6 m/s. La lumière ayant 100 fois plus de vitesse que l'électron, le noyau de celui-ci aura 100 fois plus de dimension que le minimum admissible (c'est-à-dire : établi entre des rangées adjacentes de particules D, soit 0,81 x 10^-20 mètres). Donc plus un électron est rapide plus son noyau devient petit. Pour comprendre cela plus facilement vous pouvez même faire l'expérience avec des vecteurs qui doivent converger autour d'une dimension qui est en déplacement : prenez 1 centimètre par seconde pour la vitesse de l'électron et 1 mètre par seconde pour la lumière... Donc le cœur de l'électron (c'est-à-dire le gros de son corps et ses pôles) se trouve dans une dimension d'environ 10^-18 mètres.

Comme l'électron ne possède pas un Bon Ordre parfait... il communique aussi avec l'extérieur ! Eh oui, c'est beaucoup de BO avec un peu de « Mauvais Ordre » qui sont les ingrédients d'une construction durable. L'électron, dans son intégralité, est de la charge électrique négative ; 511 001 eV, - 1 eV, se concentrent correctement dans son noyau... chaque seconde... devenant ainsi de la matière. Cependant, à cause du désordre ou d'un Bon Ordre relatif qui est présent dans la structure géométrique des énergies qui le composent, une moyenne de 1 / 511 001 eV loupent le centre du noyau chaque seconde... cela ne peut pas se concrétiser en masse - dans le cœur de l'électron - et cela reste aussi un déficit, une carence, une absence d'énergie...

Ce qui devient sa charge électrique négative

1 électronvolt, soit 1,6021765... x 10^-19 j/s

Pourquoi il y a exactement 1 eV (soit 1 sur les 511 001 que l'électron possède en tout) qui ne trouve pas le centre de l'électron pour devenir aussi de la matière ; et pour avoir ainsi un électron neutre ? La logique de cette imperfection est très simple :

Il est évident qu'avec des énergies en déplacement (l'énergie est toujours en déplacement) nous ne pouvons jamais obtenir une structure Parfaite !

Puis comme il y a une absence d'énergie (à la suite de l'absence d'une particule D) c'est une énergie - une charge électrique - qui va manquer de l'équation. Autrement dit, à la suite de l'organisation de lignes électromagnétiques dans son centre, l'électron va combler la quasi-totalité de manque d'énergie - engendré par l'absence d'une particule D - mais il ne pourra pas effectuer cela de façon idéale ; il restera toujours avec un déficit, avec une absence, ou une carence moyenne de 1 sur 511 001. Pour savoir exactement pourquoi 1 eV, il faut effectuer des calculs qui rempliront beaucoup plus qu'un livre ; en bref il est question de prendre en compte la totalité de la structure géométrique de l'électron avec les énergies qu'elle implique... évidemment tout cela en mouvement. Mais le plus important c'est de comprendre le principe :

Les structures de particules élémentaires

- Electrons et Positrons - ne sont pas parfaites...

Leur imperfection se traduit par une charge électrique

Je suis un adepte du Bon Ordre... mais je dois reconnaître que, pour faire un monde, il faut aussi un peu de Mauvais Ordre... Toutefois, pas plus de 1 / 511 000 !

L'énergie équivalente de ce Mauvais Ordre élémentaire est : l'infrarouge. De ces photons tellement répandus, partout, en tout ! Si l'on divise la charge élémentaire, 1 eV (1,602 x 10^-19 j/s), par la constate h nous avons la fréquence du « photon standard du Mauvais Ordre » de particules élémentaires, le photon qui représente la charge élémentaire :

1,602 x 10^-19 / 6,626 x 10^-34 ≅ 2,418 x 10^14 hertz par seconde

Dans une seconde la lumière parcourt 299 792 458 mètres

2,99 792 458 x 10^8 / 2,418 x 10^14 ≅ 1,24 x 10^-6 mètres

(Soit une longueur d'onde de 1,24 micromètre)

En fonction des températures (c'est-à-dire du chargement en énergie) et de structures atomiques dont elles font partie, les particules élémentaires émettent des photons sur beaucoup d'autres fréquences ; mais ce n'est pas un hasard si l'infrarouge est tellement présent dans les échanges énergétiques entre les corps situés près du calme (de 0 k).

Evidemment, la charge élémentaire a un rapport direct avec la taille du noyau de l'électron, qui est donné par sa vitesse, la vitesse C et l'énergie et le nombre de particules D... Dans un volume de moins de 10^-18 m^3, il y a environ 80^3 particules D (c'est là que se trouve le noyau de l'électron) et nous avons environ 511 000 particules D, possédant chacune une charge élémentaire moyenne de 1,602176565 x 10^-19 joules/seconde ; mais cette charge est bien centralisée (avec un corps, des pôles) donnant forme à une masse.

C'est l'équivalent de la charge moyenne que porte chaque particule D présente dans le centre de l'électron qui manque systématiquement - chaque seconde - de l'équation : d'où la charge élémentaire de 1,602 x 10^-19 joules/seconde.

Comme toute la matière est composée de mêmes particules élémentaires - Positrons et Électrons - avec des géométries, énergies et vitesses similaires, la charge élémentaire représente le défaut moyen de BO universel, les énergies d'interaction entre les particules élémentaires, ainsi que la monnaie d'échange d'énergies la plus rencontrée dans des conditions normales...

Avec les lignes d'énergie qui convergent vers son centre, l'électron récupère constamment quasiment toute l'énergie qui lui correspond - c'est pour cela qu'il conservera toujours ses propriétés fondamentales ; mais il sera constamment organisé de telle façon - dans son for intérieur - qu'il aura un manque d'énergie moyen de 1 eV (1,602 x 10^-19 j/s). Tout ceci étant également valable pour le Positron, avec la différence que celui-ci aura constamment un excédent d'énergie de 1 eV (soit + 1,602 x 10^-19 j/s).

Avec ces différences de potentiel nous avons les fondamentaux de Forces Électromagnétiques ; qui unissent les électrons aux noyaux, puis les atomes entre eux pour former des molécules...

Maintenant, vous pouvez facilement comprendre pourquoi toutes ces équivalences entre les charges négatives et positives, les masses de diverses particules, les forces qui régissent la matière...

Les particules D - le fondement de l'Existence - possèdent toutes des caractéristiques similaires, la vitesse C est la même pour toutes les particules

et la forme géométrique des particules de matière (électrons et positrons),

en 3 dimensions, dispose des mêmes paramètres fondamentaux.

...

Un photon suffisamment chargé en énergie peut « disloquer » une particule D de sa place, et créer ainsi un vide autour duquel prendra naissance un électron. La particule D « disloquée » peut revenir à sa place, ou s'intégrer dans une rangée adjacente, mais le trop vide et le trop-plein, qui ont acquis une direction de déplacement - suffisamment d'énergie cinétique pour s'éloigner - vont continuer leur existence.

Derrière la particule D qui est sortie de sa rangée reste une zone plus vide - l'électron - qui attire de l'énergie de toutes les directions. L'électron commence à se remplir, mais à une certaine distance l'inertie de chaque particule D (iD) est plus forte que l'énergie agissant sur elle (l'énergie qui vient de l'espace pour remplir le vide) ; donc l'espace ne permet plus le déplacement des particules D pour remplir le « vide ». Le résultat est : Une zone où il y a une particule D en moins - une zone qui est en mouvement mais qui garde toujours en son intérieur une quantité de particules D inférieure à la normale - un électron.

Ce processus va dans les deux sens ; si un électron rencontre un positron, ils fusionnent et leur énergie engendre deux photons gamma qui partent dans des directions opposées :

e- + e+ → γ + γ

Ces deux photons gamma possèdent, à eux deux, l'énergie fondamentale de ces deux particules élémentaires (511 du e- + 511 du e+) plus leur énergie cinétique totale,

Ec totale (la mV^2 de l'électron plus la mV^2 du positron)

L'énergie de γ + γ = e- + e+ + Ec totale

Le vide qui donne forme à un électron est plus prononcé vers le centre de celui-ci et presque insaisissable à partir d'une certaine distance... Et si l'on s'éloigne encore plus de l'électron, les particules D sont toutes à leur place et l'énergie qui se dirige vers le centre de l'électron n'est plus perceptible à notre échelle de l'Existence, car elle est inférieure à h pour chaque particule D. Le nombre de particules D sur la limite iD de l'électron = eD / h :

ND limite électron = eD / h

eD/h = 8,187 x 10^-14/6,626 x 10^-34

ND limite électron ≅ 1,23559 x 10^20

A une distance inférieure au rayon de Bohr (0,529 x 10^-10 m) - le rayon de l'électron idéal, immobile, sphérique et seul : 0,254 x 10^-10 m - l'énergie totale de l'électron (8,187 x 10^-14 j/s) est divisée par un nombre d'environ 1,23559 x 10^20 particules D ; par conséquent, au-delà de cette limite il n'y a plus de déplacements de particules D car chacune reçoit une énergie inférieure à h (6,626069 x 10^-34 j/s). Ainsi, à une certaine distance de l'électron, les particules D ne se déplacent plus pour combler le vide (vide qui représente l'électron) ; c'est de ce fait que l'électron continue son existence.

Avec la constante h, l'énergie de l'électron, l'espace en 3D, la distance dD, la particule D et la 1re loi de Newton j'ai démontré pourquoi la particule élémentaire - l'électron - est telle qu'elle est (Ceci étant valable aussi pour le positron)

eD → dispersion dans l'espace 3D, sur une surface 4 π rs^2 où, en s'éloignant du centre, se trouvent de plus en plus de particules D... Quand eD / ND < h il n'y a plus de déplacement de particules D (vers l'intérieur pour e-, ou vers l'extérieur pour e+)

eD - l'énergie totale qu'émet perpétuellement chaque particule D ; l'équivalent d'un e- ou d'un e+ (511 KeV, ou environ 8,187 x 10^-14 joules par seconde) ; iD = l'inertie de particules D = h (la constante de Planck, 6,626 10^-34 j/s) ; ND - nombre de particules D

...

...

L'énergie de l'électron vient de loin dans l'espace, se concentre de plus en plus vers le centre de l'électron, et engendre un petit renflement central, un gonflement d'énergie (le spin). Et si deux électrons se trouvent dans le même espace quantique (la même orbite par rapport à un noyau) pour harmoniser leurs énergies, les pôles (les spins) s'orientent dans deux directions opposées :

Zone avec trop de pression, engendrée par le spin du 1er e-

1er e- spin haut ↑ 2e e- spin bas ↓

Zone avec moins de pression, choisie naturellement par le spin du 2e e-

Si vous comprenez le principe d'Archimède (un corps submergé dans l'eau déplace une quantité d'eau équivalente à son volume...), vous comprenez aussi pourquoi il est plus commode à un électron d'orienter son pôle dans le sens opposé de celui de son homologue.

Effectivement, le gonflement d'un pôle engendre une pression supplémentaire, ressentie par les particules D dans toute la zone respective ; car les couches de particules D qui forment la sphère d'autour d'un noyau sont dans une connexion énergétique directe - et l'autre pôle s'orientera naturellement dans l'autre sens.

Comme les particules D communiquent entre-elles (surtout quand elles se trouvent dans un espace proche) via les lignes d'énergie em, il y a automatiquement un équilibrage entre les diverses énergies - résultat :

L'exclusion d'énergies similaires dans un espace trop restreint

Le Principe d'exclusion de Pauli

Pour les particules subatomiques, cela concerne généralement le volume d'une sphère d'environ 10^-10 m de diamètre, donnée par le rayon de Bohr ; là où il y a des transferts d'énergies constants, instantanés et supérieurs à h (6,626 x 10^-34 j/s).

Les énergies cherchent constamment l'équilibre ; c'est le principe de :

Trop c'est trop, et pas assez c'est pas assez !

Ou, le principe de La juste mesure

Cela peut vous sembler amusant... ou évident ! En tout cas, il faut surtout comprendre que ça s'applique réellement à tout ; c'est vraiment un principe fondamental de l'Existence.

Evidemment, ce que je viens de vous expliquer pour le spin d'électrons est aussi valable pour les électrons en général (2 e- qui tournent sur l'orbite autour d'un noyau d'Hélium cherchent un éloignement bilatéral). Cela reste aussi valable pour tous les autres cas similaires que l'on trouve dans la physique de particules... et pas seulement :

Tout autour de vous respecte, naturellement, ce principe de l'équilibre

Ou principe de la juste mesure (Ou principe d'exclusion de Pauli)

Vous ne vous êtes jamais trouvé exactement dans le même espace

« quantique » qu'occupe une autre personne ! N'est-ce pas ?

En ce qui concerne l'orientation d'énergies c'est très simple : ce n'est que du bon sens ! C'est avec les gaz que vous allez comprendre cela plus facilement (ils cherchent toujours à occuper tout le volume qui leur est disponible). L'équilibre est constamment recherché. Si vous rajoutez plus de gaz dans une chambre, mais qu'il y a une porte ouverte vers une autre chambre... le gaz n'attendra pas un instant pour se disperser aussi dans l'autre chambre.

Puis, comme vous le savez très bien, il n'y a rien qui empêche la communication entre les particules D. La boule de pression créée par un spin irradie avec de l'énergie tout son plan ; et l'autre spin s'oriente automatiquement vers la zone avec moins de pression.

...

...

Le cœur de l'électron se concrétise, car l'absence d'une particule doit bien se concrétiser dans un centre (ce sont les lois du mouvement). Mais ce centre est libre de changer de place et de direction partout dans sa « gigantesque » sphère de 10^-10 m. Dans cette sphère on trouve environ 10^20 lignes de particules D (10^-10 m de longueur = 10^10 particules D et pour une surface en 2 dimensions 10^20) et sur chaque ligne, c'est avec la vitesse C que les énergies se transmettent... Vous comprenez bien que le cœur de l'électron est influencé par une multitude d'énergies extrêmement rapides ; d'où le fait qu'il change constamment de place et de direction...

Si l'électron est chargé avec un plus d'énergie, il peut émettre un photon ; ou accumuler plus d'énergie cinétique, et se déplacer plus vite. Et quand il ralentira, il libérera un photon (ou plusieurs), l'équivalent de l'énergie cinétique qu'il a perdu.

e- + énergie = émission d'énergie, ou acquisition d'une énergie cinétique

Quand des photons faibles en énergie touchent un électron qui est en orbite autour d'un noyau, celui-ci reste sur son orbite même si la totalité de l'énergie suffit pour se détacher ; il faut que l'énergie nécessaire pour le détachement soit appliquée d'un seul coup - par un seul photon suffisamment puissant - pour que l'électron soit expulsé de son orbite. A notre échelle, c'est exactement pareil : touchez, autant de fois que vous souhaitez, un objet avec une force insuffisante pour le mettre en mouvement (une force inférieure à son inertie) - il ne bougera pas ; puis, touchez-le une seule fois avec suffisamment de force - il bougera :

Les particules subatomiques respectent exactement

les mêmes lois que le monde à notre échelle

Mais pour comprendre cela il faut bien prendre en compte :

Le rapport de quantités, vitesses, dimensions, directions...

L'électron, dans son état fondamental, attire une énergie eD (équivalente à celle émise par une particule D), et il peut augmenter son énergie par acquisition d'une vitesse. Mais en son for intérieur, l'électron va garder ses propriétés fondamentales... Un électron - d'une énergie E1 - qui reçoit un photon, hv0, passe dans un état énergétique E2 :

E1 + hv0 = E2

Si cet électron se trouve en orbite autour d'un atome, il passe alors sur une autre orbite, car il tourne plus vite... et il doit tourner sur la sphère 4πrs^2 qui correspond à son nouvel état énergétique. On dit alors que l'atome est excité.

Ensuite, l'électron peut émettre un photon de fréquence v = (E2 - E1) / h, d'une énergie équivalente à cette désexcitation. Comme chaque atome émet ses propres photons, nous avons beaucoup de cas où plusieurs photons s'accumulent dans l'atome, pour l'émission d'un seul photon plus fort ; ou division d'un photon plus fort en plusieurs photons plus faibles.

Un électron en orbite autour d'un atome est attaché à celui-ci avec une énergie, W0. Si l'électron reçoit - d'un seul coup ou dans un seul paquet, hv0 - une énergie, hv0, qui est supérieure à la force W0 (force du lien d'attache avec l'atome) il quitte l'orbite :

C'est l'effet photoélectrique,

Si hv0 > W0 l'électron quitte son orbite avec une énergie cinétique Ec

Ec = hv0 - W0

L'électron garde toujours ses propriétés fondamentales dictées par son cœur - une particule D en moins. Cela fait en sorte que tous les électrons, à l'état fondamental, ont les mêmes caractéristiques.

L'électron est la particule de matière la plus proche de nous tous ; la plus superficielle et la plus intime ! Les électrons sont partout, sont en tout, ils recouvrent tout. En fait on ne rentre en contact physique avec une chose que via des électrons...

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Pour plus d'informations : La Théorie D, Editions Amalthée