La Théorie D
DAN Ioan
Chronologie de l'ouvrage :
1988-2000 - études et prospections fondamentales
2000-2012 - recherches, élaboration et conception
2012-2016 - dissertation, structuration et révision
Objet : Ceci est LA GRANDE THÉORIE PHYSIQUE ; pour laquelle nous investissons des milliards dans le monde entier, pour laquelle des millions de chercheurs travaillent avec toute leur intelligence et tous leurs moyens...
Voici un tableau, abrégé, de composantes de l'Existence, par dimension :
10^58 Taille du Multivers, limite haute de notre Existence
10^31 Dimension énergétique d'un Univers comme le nôtre
10^29 Taille physique de notre Univers à l'âge adulte
10^26 Notre Univers actuellement
10^21 Une Galaxie comme la nôtre
10^16 Distance ordinaire entre les étoiles
10^13 Diamètre habituel d'un système stellaire
10^12 Zone interne d'un système stellaire : le Centre de l'Existence
10^11 Notre Univers à sa naissance, distance entre les orbites planétaires
10^9 Taille d'une étoile comme le Soleil
10^7 Diamètre d'une planète comme la Terre
10^5 Grandeur de satellites naturels, écosystèmes...
10^4 Dimension de cités, forêts, îles, astéroïdes, habitats naturels...
10^3 Étendue d'un village, d'une montagne, d'un lac...
10^2 Hauteur de grands arbres, interactions d'une Complexité infinie...
10^1 Taille de grands animaux, comme les baleines, les dinosaures...
10^0 La Grandeur de l'être humain...
10^-1 Taille de la majorité de mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens...
10^-2 Taille moyenne de la plupart des animaux : arthropodes, vers...
10^-2 Nombreuses particules : grains de sable, météorites, germes végétaux...
10^-5 Taille de la Cellule vivante, diamètre d'organismes unicellulaires...
10^-7 Dimension de virus, prions, grandes molécules...
10^-9Rayon de l'hélice d'ADN, beaucoup de molécules, nanotechnologies...
10^-10 Les Atomes : Carbone, Azote, Oxygène...
10^-15 Les protons et les neutrons
10^-18 Les électrons, les positrons et les quarks
10^-20 Distance entre les particules D
10^-34 Diamètre des particules D, limite basse de notre Existence
Pour aboutir à cette Théorie, j'ai travaillé durant de longues années, d'une façon quasiment surhumaine. Il a fallu effectuer des millions d'opérations - des grandes opérations mathématico-logiques, contenant une multitude d'éléments... Car pour chaque tentative de percer le Grand mystère de l'Existence il fallait prendre en compte... Tout. A ce jour il n'existe encore aucun algorithme suffisamment complexe et logique pour réaliser un tel travail ; et il n'y a aucun autre penseur qui peut travailler des milliers et des milliers d'heures... de façon continue - en se reposant 4 heures sur 24... et même rêver de ses travaux - pour résoudre logiquement une équation qui comporte quelques milliers de facteurs... Puis, une fois l'équation achevée... si un seul facteur n'est pas clair, tout recommencer ! Et répéter cela encore et encore et encore... jusqu'au moment où toutes les données - mouvements, vitesses, temps, espace, énergie, lumière, particules, étoiles, trous noirs, galaxies... - s'emboîtent parfaitement.
Pour élaborer une telle Théorie... la Recherche, l'Observation, l'Analyse, l'Étude, la Comparaison, la Synthèse, la Logique... sont indispensables ; cela étant valable pour toutes les théories et pour tous les chercheurs - vous allez sûrement me demander : qu'est-ce que tu as eu de plus que les autres, pour réussir ? C'est surtout de l'endurance, de l'ambition et de la Logique - beaucoup de Logique. Ils sont nombreux les chercheurs qui se sont perdus parce qu'à un moment ou un autre, ils ont cru, ils ont eu la foi ou la certitude, en quelque chose ! Moi, je n'ai aucune foi, aucune certitude préalable... La Logique - LA RAISON - est mon unique guide.
...
LA THEORIE D
Sommaire
Préface....................................................................................................................15 Introduction............................................................................................................29
Chapitre 1 : L'ESPACE-masse-mouvement-lumière..............................................62
1.1 L'infini éternel absolu..........................................................................................63
1.2 La particule D.....................................................................................................75
1.3 L'espace 3D.........................................................................................................98
1.4 L'énergie et la masse..........................................................................................107
1.5 Les ondes d'énergie...........................................................................................126
1.6 La Force Gravitationnelle..................................................................................146
1.7 Les énergies sont unies.....................................................................................163
1.8 Le C2 toujours au carré.....................................................................................183
1.9 Le Mouvement-Changement, le Temps...............................................................198
Chapitre 2 : LA MATIÈRE................................................................................218
2.1 L'Électron........................................................................................................220
2.2 Le Positron, la Force Electromagnétique............................................................242
2.3 Les quarks, la Force Nucléaire...........................................................................259
2.4 Les nucléons : le proton et le neutron...............................................................282
2.5 La matière anti, d'autres noyaux et particules.....................................................300
2.6 L'atome..........................................................................................................310
2.7 Vers la complexité...........................................................................................323
Chapitre 3 : LUMIÈRE & MATIÈRE..................................................................333
3.1 Quantification et déterminisme.......................................................................335
3.2 Les états énergétiques.....................................................................................348
3.3 Electricité et magnétisme................................................................................353
3.4 Connexions, destructions et constructions.......................................................358
3.5 Photons et matière, Lumière et Vie..................................................................363
Chapitre 4 : L'UNIVERS..................................................................................368
4.1 La naissance..................................................................................................369
4.2 La formation de particules, étoiles, planètes.....................................................377
4.3 Matière invisible.............................................................................................383
4.4 Expansion, retour, renouveau.........................................................................402
4.5 L'Existence....................................................................................................423
EPILOGUE..........................................................................................................440
Chapitre 5 : L'AU-DELA.................................................................................447
5.1 L'Infini... l'intrication quantique et cosmique...................................................449
5.2 Energies mieux connectées, une planète vivante..............................................456
5.3 La Contrée éternelle........................................................................................463
Préface
Bonjour, et bon courage dans l'étude de cet ouvrage exceptionnel !
Ce livre est relativement difficile à comprendre, mais absolument indispensable pour tous ceux qui souhaitent avoir une réelle compréhension de l'Existence. La Théorie D est la clef pour comprendre Le Mystère de l'Existence, en l'approchant par la physique.
Pour comprendre l'Existence, il est indispensable de comprendre d'abord les lois, l'énergie et la matière, qui la composent. Philosophiquement, spirituellement, conceptuellement... vous pouvez aussi comprendre le monde - surtout au pif, par observations, par tâtonnements, par expérimentations, par comparaisons... - mais seulement partiellement car, sans la physique, le Tableau, l’Équation ou le Grand Sujet de l'Existence est incomplet, les bases ne sont pas acquises (vous ne pouvez pas faire correctement de la mathématique sans maîtriser d'abord les 4 opérations élémentaires) !
L'Existence est un tout indissociable, et pour la comprendre correctement et profondément il faut aussi comprendre la cosmologie et la physique des particules.
Ce livre est destiné surtout à tous ceux qui souhaitent - qui souhaitent vraiment - comprendre l'Existence, à tous ceux qui se posent souvent des questions d'ordre scientifique, philosophique, spirituel... et qui cherchent le sens de l'Existence. Mais, comprendre l'Existence n'est pas une mince affaire ! Alors, armez-vous de beaucoup de volonté et de patience ! Lisez et réfléchissez, encore et encore ! Et... vous allez y parvenir.
Cet ouvrage je l'ai écrit aussi philosophiquement et avec un langage aussi vulgaire qu'il m'a été possible, pour faciliter son étude et pour qu'il soit abordable par un maximum de personnes. En même temps - pour décrire et expliquer l'Existence dans son ensemble - j'ai écrit plusieurs ouvrages dont cinq essais (La Vérité, La Théorie D, La Guerre Sainte avec Science et Amour, L'évolution de la vie sur Terre et La Guerre mondiale autrement).
Si vous voulez réellement comprendre l'Existence, tôt ou tard, il faut que vous compreniez la physique - l'espace, le temps, l'énergie, la matière... - et La Théorie D est exactement l'ouvrage que vous cherchez. Avec La Théorie D vous avez La Clé pour tout comprendre ; si vous avez compris cette théorie, intégralement, l'Existence entière sera ouverte devant vous.
La Théorie D est un ouvrage scientifique dans lequel j'explique la partie physique de l'Existence - évidemment, sans réécrire toute la physique. J'insiste principalement sur l'essentiel - la cosmologie et la quantique... - et je corrige les erreurs fondamentales de la physique théorique actuelle ; tout ce que les scientifiques comme Galilée, Newton, Maxwell, Planck, Einstein, Hawking... et les innombrables chercheurs d'aujourd'hui n'ont pas pu expliquer, car... le temps n'était pas encore venu ! Si vous me posez la question : « pourquoi tu as réussi là où les autres ont échoué ? » je ne vois pas comment vous répondre en quelques mots... et ce n'est pas l'objet de cet ouvrage (j'ai écrit aussi une autobiographie dans laquelle j'explique sommairement mon parcours spirituel et intellectuel). En bref, c'est du bon sens, de la logique et beaucoup, beaucoup, beaucoup... de travail !
Il faut que ce soit bien clair dès le départ que, dans cet ouvrage comme dans les autres, je ne fais pas appel à votre foi... pour croire ce que je vous présente ! J'interpelle votre intellect, votre sens rationnel... pour comprendre ce que je vous explique. Tous les enseignements que je vous déploie sont accompagnés d'une multitude d'arguments et d'explications logiques, et sont connectés les uns avec les autres pour former un tout logiquement assemblé. Par conséquent - si vous êtes suffisamment préparé, fort et résolu - vous allez vite comprendre que ce que je vous explique a du sens, a du bon sens. Et, plus tard, vous allez aussi comprendre que La Théorie D est la seule théorie physique du Tout, qui est logiquement conçue, qui correspond avec la réalité et le bon sens qu'on peut observer dans notre Univers ; la seule théorie du Tout qui est logique et cohérente, déjà en rapport avec ses propres éléments, ainsi qu'en rapport avec la réalité observable. Et ce, loin, très loin, devant toutes les absurdités ou les rêves infantiles que certains appellent encore aujourd'hui théories scientifiques.
Depuis un siècle, d'innombrables erreurs d'interprétation de l'Existence ont été commises, et se sont accumulées ; il ne sera pas facile de comprendre maintenant la Vérité. Vous êtes en ce moment devant le plus grand paradigme de toute l'histoire de la science !
La Théorie D est une Théorie complète, cohérente, vérifiée et revérifiée... - non pas une simple hypothèse. Toutes les observations, de la quantique jusqu'à la cosmologie en passant par l'existence à notre échelle, s'emboîtent parfaitement en elle. Aucune autre théorie - prise séparément - ne répond à plus de 5% des questions clarifiées par la Théorie D ; et, surtout, aucune autre théorie ne répond à l'essentiel. Donc, si vous me posez la question « quelles sont les preuves qui soutiennent La Théorie D ? » la réponse est simple : toutes ! Toutes les observations vis-à-vis de l'Existence, accumulées par les sciences jusqu'à nos jours, s'expliquent parfaitement par La Théorie D. A ce jour, La Théorie D est la seule théorie de cosmologie et de physique quantique qui est logique et qui offre des explications logiquement conçues et logiquement connectées les unes avec les autres.
L'infini a été perçu comme un problème, en réalité il est la solution ; pour comprendre l'espace, l'énergie et la matière il faut compter avec l'infini, car vous ne pouvez pas écarter de l'équation de l'Existence le facteur le plus important !
Même si la constante h (quantité « minimale » d'action) est d'une valeur très réduite, il ne faut pas croire que ça y est, c'est fini, c'est la fin ! - il n'y a rien de plus petit ; et il peut se construire sur cela des théories complètes sans tenir compte de l'infini !
Si vous fragmentez un morceau de matière ou d'énergie en deux, et un de ces deux nouveaux morceaux encore une fois en deux, et vous continuez ce processus indéfiniment... sachez-le désormais, sachez-le clairement, que cela n'a pas de fin. Vous passerez par une molécule, puis un atome, puis un photon, puis une particule D, et vous continuerez par les Univers, puis par les Galaxies, les étoiles... de la dimension plus petite, et cela ne finira jamais.
Au XXe siècle, plusieurs théories fantastiques, qui font abstraction de l'infini, ont pris existence : origine de tout à partir d'un 0... très mystérieux ; combat épique, matière - antimatière ; le temps... est devenu une dimension ! ; le big-bang, une singularité ! qui a tout engendré ; « la relativité isolée, ou enfermée » ; les cordes, entremêlées... Les religieux et les métaphysiciens ont de quoi être jaloux ! Ils sont à court d'idées face à ces physiciens ultra-artistiques à l'imagination débordante ! face à ces physiciens de conte de fées qui se prennent pour Alice au pays des merveilles - avec leurs voyages dans le temps, via des trous noirs ou des lombrics quantiques ! Ces physiciens - qui sont, d'ailleurs, animés par de la bonne volonté - manquent cruellement de logique, de bon sens ! Cela, principalement parce qu'ils ont tenté d'isoler un tout petit morceau de l'infini et de le comprendre, sans tenir compte de l'infini. Et, comme tout est connecté avec tout, ces tentatives fantasmagoriques de comprendre l'Existence sont vouées à l'échec total.
Il faut admettre l'infini dans l'Equation de l'Existence, puis l'étudier, logiquement, pour connaître son fonctionnement ; les explications théoriques de la physique doivent s'adapter à la réalité de celle-ci et à la logique de l'infini, non pas l'inverse !
Baryons, fermions, bosons, gluons... ce ne sont que des ondes d'énergie de différentes intensités et formes. Ensuite, sans aucune particule stable rien ne peut se créer, et même un photon ne pourrait conserver une existence et une direction, de la même manière q'un atome ne peut pas exister sans des composants durables. Par conséquent, dans le Cosmos infini il doit y avoir au moins un type de particule qui possède une stabilité totale - on va l'appeler la particule D.
Certaines explications que vous allez trouver dans ce livre correspondent à des choses déjà dites sous une forme ou une autre, mais beaucoup d'éclaircissements sont nouveaux. Pour rester clair, simple, et éviter les ambiguïtés, il y a peu de références. Il est inutile de parler beaucoup à-propos des erreurs faites auparavant, ou de la bonne intuition que nombreux chercheurs ont eue.
Dans ce livre vous avez des explications à partir du petit infini (du microcosme) jusqu'au grand infini (le macrocosme) en passant évidemment par l'infini du milieu (l'existence à notre échelle), sans rentrer dans les détails (qui sont aussi infinis) - tout ce qu'il faut pour vous faciliter la compréhension... et pour offrir autant d'éléments que nécessaire, mais sans trop s'étaler. Il n'est pas question donc de tout réexpliquer, mais d'élucider la physique théorique qui tient de la cosmologie et de la quantique ; et ce, d'une manière accessible pour un maximum de personnes.
Avec une technologie de plus en plus développée, plus de connaissances, et la détermination qui va avec, la physique du XXe siècle est entrée dans un espace inaccessible pour l'homme d'avant : le territoire du Grand Mystère de l'Existence...
Les religieux et les métaphysiciens, les plus cultivés, ont été effrayés ! Croire que l'on existe, avec les êtres, les matières et les énergies qui nous entourent, et spéculer sur cela... c'est une chose assez facile (qui va de soi), mais comprendre pourquoi et comment existe le Cosmos... c'est une toute autre affaire, beaucoup moins évidente !
L'être humain est habitué à des choses limitées :
- un espace vide... et neutre
- un temps bien clair... continu et indépendant
- des distances mesurables et « raisonnables »
- des objets qui restent à leur place si rien ne les touche, etc.
Les énergies et les matières qui sont hors de notre compréhension sont placées, automatiquement, dans le domaine mystique, métaphysique, ou spirituel...
Mais, au début du XXe siècle, les scientifiques sont rentrés profondément sur le territoire de la métaphysique. Cependant, comme ils sont rentrés trop vite et avec trop d'enthousiasme (et avec des informations encore trop vagues), ils ont mélangé l'imagination et la mathématique avec la réalité concrète. Les erreurs n'ont pas tardé à s'installer dans la toute jeune physique théorique moderne : « Sur une relativité indépendante, discontinue et à visibilité réduite, dans un espace-temps mystique et mystérieux, accompagnée par une quantique remplie d'énergies et de particules trop rebelles, nomades, instables et indécises, et appuyée sur une h inconnue, insuffisante et glissante... la physique moderne, très moderne, toute neuve comme un bébé, a fait quelques petits faux pas, elle a trébuché et est tombée dans un trou noir... Comme un enfant très intelligent et plein d'énergie, elle a tenté de sortir, même sans comprendre le fonctionnement de ce trou noir, en utilisant la mathématique, la logique, mais aussi l'imagination et des petites constantes retouchées et adaptées en permanence pour satisfaire au besoin. Et, même dans des difficultés de compréhension et surtout d'organisation et de communication et dans une constante crise administrative et morale, la physique théorique a fait des prodiges inimaginables. Mais elle reste limitée et isolée, car elle a commis l'erreur capitale d'exclure l'infini de ses lois... Et pour compliquer encore plus les choses, dans un Univers limité, isolé, indépendant, en liberté totale et avec son propre instant 0 - un commencement à partir d'un 0 étrange -, l'énergie noire prendra le pouvoir, pour dominer cette physique primitive, sans passer par aucun accord avec les autres énergies et matières ! C'est exactement comme les esprits et les forces mystérieuses... qui étaient un peu partout, durant la Préhistoire et durant le Moyen Âge, pour expliquer... l'inexplicable ! Et pour y ajouter encore de la difficulté, sur une vieille formule de gravité en décomposition, la matière noire a trouvé un milieu extrêmement fertile pour se développer et atteindre une taille hors-norme ! Pour que l'on soit, ainsi, à un total de 96% du contenu de l'Univers complètement inconnu ! Et, prétendre, quand même, que la théorie physique rêveuse (avec 4 dimensions, possibilité de voyager dans le temps, instant 0...), qui parle, un petit peu, du 4% de l'Univers, est une théorie... à peu près correcte et complète !?! Et pour que le tableau soit dans l'obscurité totale et le mystère le plus stupéfiant - tel qu'aucun artiste, aucun fabulateur, aucun baratineur... n'aurait pu imaginer ! -, la quantique non déterministe, la masse inventée, l'énergie et la vitesse d'origines totalement inconnues... et le « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué », ont donné naissance à une multitude de particules étranges, parfois charmantes, mais surtout énigmatiques, et avec elles, la terrifiante antimatière... »
On pourrait croire que les scientifiques, faisant preuve d'un esprit extrêmement conservatoire, ont l'intention de garder intact Le Mystère de l'Existence, et même de lui donner une dimension inaccessible, et une résistance quasi imperméable ! Ou, tout simplement, ils cherchent à tout prix à valider le bateau théorique qui les a emmenés dans le nouveau monde. Ou peut-être seulement un « photon » très puissant peut déraciner un très lourd « électron théorique » - profondément enfoncé dans l'obscurité... - pour lui donner une trajectoire dans la lumière...
Observer, mesurer, comparer, analyser et comprendre, c'est plus difficile que prendre, utiliser et supposer ; ou consommer ! Construire c'est plus difficile qu'utiliser ou détruire.
Regardez : rien que pour la construction et le fonctionnement d'une simple voiture, « quelle machine scientifique-technique » est nécessaire ; des minéraux, énergies, acheminements, transformations, usines, pièces d'une haute précision... et une multitude de personnes qualifiées et spécialisées... sans oublier les milliers d'années de progrès nécessaires pour en arriver à ces compétences. Ensuite, une seule personne est apte à détruire une voiture, sans difficulté...
Récemment, les progrès de la science ont relativement ralenti, non pas pour éviter les accidents, car la sollicitation de la science - dans ce monde consumériste... - est illimitée, mais pour faire et refaire des calculs, des expérimentations, des pièces et des outils qui demandent de plus en plus de travail, de précision, d'intelligence et de conscience de causes et effets...
Les scientifiques et les ingénieurs ont besoin de réfléchir plus pour créer du plus complexe.
Puis, il ne faut pas aller plus vite que la musique ! La science (la science en général, non pas seulement la physique) doit avancer raisonnablement et sagement ; et, avant d'utiliser la puissance scientifique - pour faire des bombes, ou pour détruire la Planète par une exploitation irrationnelle... - il faut comprendre comment fonctionne le monde qui nous entoure, et comment faire en sorte de ne pas trop détruire... avant même de savoir comment faire pour construire ou pour reconstruire ! Car, pour détruire et consommer, il faut beaucoup moins de science que pour construire et préserver ! Par conséquent, s'abstenir d'utiliser la science de façon irréfléchie - dès que l'on découvre un gadget, hop l'application et la consommation ! - comme un primate agressif, consumériste et insatiable... et avoir la sagesse de patienter jusqu'au moment où une technique est suffisamment étudiée et réfléchie - pour qu'elle soit applicable de façon bénéfique, bienveillante, humaniste, logique et responsable - c'est absolument indispensable pour l'Humanité ! Autrement, la science - au service d'une politique irresponsable et d'une société consumériste, pleines d'égoïsme et d'ignorance - servira à mener l'Humanité directement en Enfer...
On sait que la science est « en retard » par rapport à vous, les citoyens, avec votre « conscience des causes free et votre compréhension illimitée... » ! Et ceux qui vous conduisent, moralement et physiquement - les politiciens et les riches - se croient, forcément, beaucoup plus sages et plus conscients « du pourquoi du comment et de comment ça marche » que les pauvres scientifiques ! Puisque vous roulez à très grande vitesse, et vous accélérez, dans une direction inconnue, et impossible à identifier par les scientifiques... même avec les instruments les plus performants ! Car vous dépassez, avec votre énergie spirituelle extrême et l'intellect foudroyant de ceux qui sont au volant, de ceux qui conduisent, même des lois physiques très puissantes comme l'accélération gravitationnelle au carré du temps...
Malheureusement, la direction que vous avez prise conduit vers le désastre, l'Enfer ! Mais nous pouvons encore changer de direction... en se comportant comme de vrais homo sapiens sapiens, intelligents, responsables et bienveillants.
Dans un éventuel futur, il sera possible de voyager presque aussi vite que la lumière, et nous pourrons utiliser une vitesse beaucoup plus élevée pour transmettre des informations. Puis, avec des machines - qui pour prendre existence nécessiteront, au préalable, beaucoup de réflexion et de travail - la téléportation sera également possible. Et nous pourrons aussi vaincre la mort et ressusciter nos ancêtres... Mais tout ça est loin, très loin, dans un futur invisible et incertain, car, bien avant, d'autres choses surnaturelles - d'ordre destructeur, conflictuel, égoïste et consumériste - seront réalisées. Il est beaucoup plus facile d'engendrer un Enfer que de construire un Paradis. Et, aujourd'hui - à cause de l'égoïsme et de l'ignorance qui conduisent ce monde capitaliste - la Science est utilisée, en bonne partie, pour mener l'humanité vers le désastre...
Mais... Rien n'est établi.
Ce qui a existé, c'est déjà dans l'Histoire, déjà dans l'éternité... et rien ne peut plus être changé. Mais, l'avenir reste entièrement à construire. A vous de choisir comment... et dans quel sens ! Si vous voulez un conseil, le voici :
Aimez-vous les uns les autres ! Et utilisez la Science raisonnablement et avec bienveillance ! La Science et l'Amour sont le Chemin, la Vérité et la Vie.
La Théorie D est la lumière - que la Science recherche depuis longtemps - l'éclaircissement vis-à-vis du fonctionnement de l'énergie du microcosme jusqu'au macrocosme. Les matières, particules et énergies, qui sont aujourd'hui plus ou moins « obscures », seront éclairées par la lumière de la Théorie D.
Les figures géométriques utilisées dans cet ouvrage sont des aides pour faciliter la compréhension, mais la forme de chaque énergie peut être plus complexe, ou assez différente ; retenez surtout que l'espace est en 3 dimensions.
Les exemples naturels, ou philosophiques... ont autant le rôle de vous faciliter la compréhension de la physique, comme celui de vous faire comprendre le fait que tout est fondamentalement uni et tout fonctionne avec les mêmes lois fondamentales.
L'ouvrage commence par les explications concernant l'espace, l'infiniment petit, les énergies et les particules, pour continuer avec la matière et l'Univers et finir par l'énergie généreuse de notre infiniment petit et l'espace accueillant et éternel de notre infiniment grand.
Vous êtes une énergie, ce livre également. On espère que l'espace qui vous sépare soit raisonnable... et la quantique qui vous compose assez développée pour une... bonne lecture !
L'introduction qui suit cette préface a le rôle de vous faciliter la compréhension de l'ouvrage par la synthèse et l'explication de son contenu d'une façon en même temps simple et relativement complète.
Introduction
Dans cette introduction j'ai résumé et simplifié l'essentiel de l'ouvrage ; si vous arrivez à bien comprendre ces enseignements, il vous sera beaucoup plus facile de comprendre ce qui suit. Avant de vous lancer dans l'ouvrage, n'hésitez pas à relire plusieurs fois - et à bien étudier - l'introduction.
En tout cas, il est essentiel de savoir que vous avez devant vous un ouvrage qui, pour le commun des mortels, est relativement difficile à comprendre... Et qu'il ne faut pas se décourager dès la première lecture ! Lisez ! Réfléchissez ! Puis, revenez plus tard et répétez cela, encore... et encore ! Et vous allez voir qu'à chaque relecture, vous comprendrez mieux...
Pour élaborer une théorie du Tout - qui explique les fondements du Cosmos et ses lois - il faut comprendre ce Tout... tel qu'il est. Le Cosmos, les Multivers, l'énergie, la matière, la vie, l'intelligence, la conscience... se composent tous du même type d'énergie et des lois ou des principes fondamentaux ; formant Un Tout infini, éternel et absolu, et indissociable.
Nous pouvons étudier les lois, l'énergie et la matière, qui forment le Cosmos, séparément des éléments les plus complexes que l'on trouve dans l'Existence (comme la vie et la conscience), mais il faut toujours garder à l'esprit que l'Existence est un Tout indissociable - et, ce, pour le simple fait que pour élaborer la bonne théorie du Tout il faut que cette théorie soit conforme avec le Tout ; le Tout réel, concret, véridique...
Ce n'est pas parce que nous ne pouvons pas percevoir quelque chose de plus petit qu'un photon ou un quark, ou plus loin que les bords de notre Univers, que ce sont les limites concrètes de l'Existence ! L'Histoire - avec la Terre au centre du Tout, les éléments comme l'eau, la terre, l'air et le feu comme fondamentaux de toute l'Existence ; puis, le Soleil au centre et les molécules et les atomes comme frontière matérielle ; ensuite, la Galaxie au centre et le proton, le neutron, le photon, etc. comme fondement pour tout ; puis, l'Univers au « centre » et les quarks et les bosons comme particules fondamentales ; puis... - nous apprend que mettre des limites à l'Existence est une absurdité, un illogisme, ou une médiocrité intellectuelle ! Ensuite, la logique de l'Existence - que j'explique plus en détail dans mon ouvrage central La Vérité (en bref : une Existence finie ne pourrait pas exister car toutes les lois que nous avons dans ce monde s'effondreraient dans un équilibre absolu... et rien n'aurait pu jamais exister) - nous confirme que l'infini et l'éternité sont les facteurs qui régissent toute l'Existence. L'Existence est infinie et éternelle, et ce, dans tous les sens. Par conséquent, pour élaborer la bonne théorie du Tout, il faut entamer les travaux, les analyses, les comparaisons, les synthèses et les calculs en tenant compte du fait que l'Existence n'a pas de limites, ni vers l'infiniment petit, ni vers l'infiniment grand... Puis comme, visiblement - car nous pouvons déjà voir cela concrètement -, tout est connecté avec tout, l'Existence est absolue (Une et indivisible). Par conséquent, nous avons Une Existence infinie, éternelle et absolue, ou Un Cosmos infini, éternel et absolu, ou Un Dieu infini, éternel et absolu...
Effectivement, même si elle n'a pas des limites, l'Existence fonctionne selon des lois fondamentales que l'on peut décrypter, comprendre et décrire. Et, dans cet ouvrage, je vais vous expliquer quels sont les principes fondamentaux de l'Existence, surtout en ce qui concerne les lois qui régissent l'énergie et la matière.
Notre Univers est seulement une petite image, un film, qui se déroule dans un plus grand élément du Cosmos, un Multivers qui englobe en lui des milliards de milliards d'Univers. Le Multivers est ce que l'on peut appeler « une cellule du Cosmos » : L'élément fondamental de l'Existence. Le Multivers est formé par des Univers qui, eux, commencent et terminent leur existence perpétuellement, mais le Multivers, Lui-même, n'a pas de fin ni de commencement. C'est toujours le Multivers qui donne forme à l'Existence vers le microcosme, ou à partir de celui-ci - car l'espace, l'énergie et la matière sont constitués d'une infinité de Multivers. Pour nous, pour notre Existence, les Multivers de la dimension (de l'échelle) immédiatement inférieure à celle dans laquelle nous évoluons forment « la chair » de notre propre Existence - notre espace, notre énergie et notre matière... Pour nous, ces Multivers de la dimension immédiatement inférieure sont des particules élémentaires - les particules les plus élémentaires - que l'on va nommer les particules D.
Dans le Cosmos infini, chaque circonstance, environnement, énergie, objet, plante, animal, être humain... existe une infinité de fois. Et tout se développe selon la logique de l'Existence qui part du très simple et très libre vers du plus en plus complexe et réglementé.
Pour le fondement de l'Existence, comme règle de départ, il n'y a aucune Loi : c'est la Liberté totale qui règne partout dans le Cosmos infini. Ensuite, chaque objet, chaque animal, chaque être humain... est limité par sa propre condition - ses propres limites - et par la pression qu'exerce son environnement. Sur ce fond de liberté totale, l'Amour, ou l'Harmonie et l'Intelligence, ou la Science - ou tout simplement le Bon Ordre, le bon sens, la logique - se construisent et construisent partout autour d'eux ; puis, les défauts, l'illogique, la discorde, les limitations, les incapacités, les conflits - ou l'ignorance et l'égoïsme - se détruisent, mènent leurs victimes à la destruction et détruisent autour d'eux.
Donc, après la Liberté totale, les deux premières lois qui régissent l'Existence sont : le Bon Ordre et le Mauvais Ordre. Ce qui est construit selon le Bon Ordre (comme les particules qui composent notre matière) peut continuer son épopée dans l'Existence... alors que les éléments pleins de défauts, construits selon un Mauvais Ordre, auront une vie très courte.
Le Bon Ordre - que l'on peut aussi nommer structure logique, pour de la matière, et intelligence et amour pour l'esprit d'un être humain - construit toute l'Existence. Ce Bon Ordre peut être très simple ou très complexe... mais toujours en harmonie avec tout (ou du moins suffisamment en harmonie avec tout autour de lui). Comme tout est connecté avec tout, pour avoir un Bon Ordre durable, l'harmonie doit être la plus universelle possible...
Fondamentalement, l'énergie et la matière sont : du mouvement.
Les mouvements perpétrés continuellement par des énergies plus simples et plus petites créent le fond et la forme pour des choses plus complexes, pour des énergies plus grandes. Le mouvement des particules subatomiques crée des noyaux, des électrons et des atomes, le mouvement d'atomes donne forme à des molécules... le mouvement de planètes et d'étoiles donne forme aux Galaxies, et ces dernières forment l'Univers, etc.
En règle générale, des petits mouvements rapides composent ou construisent des mouvements plus grands et plus lents. Rapportée à sa taille, plus une chose est petite plus elle est rapide et vice-versa : la lumière est plus rapide que l'électron, l'abeille est plus rapide que l'éléphant, etc.
Les plus petites et les plus grandes particules qui forment l'Existence - les Multivers ou les particules D - sont de la même nature, mais en fonction de leur taille - ou échelle - par rapport à nous, elles exercent des fonctions distinctes : dans notre Multivers (gigantesque par rapport à nous) se déroule notre existence et les particules D (minuscules par rapport à nous) forment l'énergie, la matière et l'espace qui nous composent.
Vers le microcosme et vers le macrocosme, cela n'a pas de fin. Pendant que les particules D - qui donnent forme à notre existence - développent, dans leur intérieur, dans une fraction de seconde pour nous, quasiment toutes les existences possibles logiquement... en ce même temps, notre Multivers, celui dans lequel nous habitons, vit à peine quelques instants. Et, toujours dans ce même laps de temps, le Multivers plus grand que lui - celui pour lequel notre propre Multivers est une particule subatomique - n'a changé pratiquement en rien ; pour nous, il est totalement intangible, non pas seulement à cause de sa taille (démesurée par rapport à nous) mais surtout à cause du déroulement de son temps - car, pendant que dans notre Multivers des milliards et des milliards d'Univers naissent, se développent et finissent leur vie, dans le Multivers plus grand (pour lequel le nôtre est une particule subatomique, une particule D) pratiquement rien n'a changé... tout est à « l'arrêt » ! Donc, pour nous, c'est une existence intangible. Cela est valable dans les deux sens : le Multivers immédiatement supérieur au nôtre est si lent (il évolue si lentement) que, pour nous, pratiquement il n'existe pas ; et les Multivers immédiatement inférieurs au nôtre sont si rapides (ils évoluent si rapidement) que pour nous c'est de la pure énergie - que l'on va appeler : les particules D ; ce sont elles qui forment la Force Gravitationnelle et la lumière, la chair, de notre existence, ainsi que l'éther - l'espace - de notre existence.
Les particules les plus petites qui composent notre existence, ces Multivers qui sont la base pour toute l'énergie dont nous sommes composés, nous allons les nommer particules D ; D comme pour Dieu - la particule de Dieu. Cela va remplacer, effectivement, le prétendu boson de Higgs et les autres absurdités...
Ces particules D forment ensemble ce que l'on peut appeler un cristal infini. Dans des conditions normales - comme dans un espace où il n'y a pas de Force Gravitationnelle et d'ondes électromagnétiques - les particules D se trouvent à des distances égales les unes des autres ; mais comme partout dans l'espace nous avons des Forces Gravitationnelles (même si peu significatives), concrètement les particules D se trouvent généralement à des distances quasiment - non pas parfaitement - égales les unes des autres. Elles forment des lignes et des couches (ou des strates) successives dans un espace infini, en 3 dimensions - un espace infini, qui est en trois dimensions et qui est rempli par des particules D approximativement équidistantes ; particules D qui sont toutes, quasiment, de la même taille.
La propriété fondamentale de la particule D, pour nous, c'est : le mouvement primordial. Avec tout ce qu'il résulte de cela, c'est-à-dire : la Force Gravitationnelle, les ondes électromagnétiques et toutes les substances qui composent notre existence.
Le mouvement que possède chaque particule D provient directement de la lumière (ou des ondes électromagnétiques) - la lumière de sa propre dimension.
En émettant de la lumière, les particules D exercent une certaine pression les unes sur les autres. Et quand cette pression est suffisamment importante (ou différente comparé à la normale) elles oscillent par rapport à leur position - ainsi, sont créées des ondes électromagnétiques. Puis quand la pression sur les couches des particules D se concentre vers une zone centrale - vers un point (comme une planète ou une étoile) - à partir de tout l'espace circonférentiel, nous avons là-bas une Force Gravitationnelle qui va modifier la texture de tout l'espace, car les couches successives des particules D subiront une pression, une distorsion...
A l'échelle de Multivers, la lumière peut circuler dans l'espace sur des distances plus importantes que la Force Gravitationnelle - la lumière a une portée plus importante que l'énergie gravitationnelle car son énergie se concentre vers une direction précise ou sur une ligne précise de particules D (et peut ainsi - surtout les photons les plus chargés en énergie, qui supportent plus de pertes d'énergie, dues aux oscillations de l'espace, sans disparaître - s'échapper, de temps à autre, aux rééquilibrages locaux entre les zones cosmiques avec différentes pressions) ; alors que l'énergie gravitationnelle couvre l'intégralité d'un espace donné, dans toutes les directions, de manière plus hermétique, et à partir d'une certaine distance son influence est nulle.
En d'autres mots, à très grande échelle, la Force Gravitationnelle est complètement diluée dans le Cosmos (l'équilibre entre les Univers en expansion et les Univers en repli rend neutre la Force Gravitationnelle au-delà de l'échelle du Multivers), alors qu'il en reste quelques ondes électromagnétiques qui parviennent à s'échapper et à voyager d'un Multivers à l'autre.
Quand la lumière rencontre un élément, elle peut transférer son énergie.
Ainsi, les Multivers - les particules D - exercent une certaine pression les uns sur les autres ; cela crée les conditions pour avoir, tout simplement, du mouvement.
Evidemment, à échelle fondamentale - particules D ou Multivers - rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. Toutes les particules émettent et reçoivent de l'énergie ; une énergie qui circule à l'infini dans le Cosmos. Mais, parfois, les émissions et les réceptions suivent des chemins - des concentrations d'énergie - qui donnent naissance à des mouvements.
Au commencement il y a le mouvement (le mouvement engendré par la lumière qu'émettent les particules D). Ensuite, par la diversification, ou la complexification, le mouvement devient tout ce que vous voyez.
Pendant que la lumière pousse un objet dans la direction de son déplacement, la Force Gravitationnelle pousse les objets les uns vers les autres.
La Force Gravitationnelle n'est pas une force d'attraction de la part des corps... mais une force de poussée exercée, de la part de l'espace, sur la matière.
La gravitation est le résultat de l'interaction entre les particules D - toujours via leur propre lumière - en présence d'une énergie qui circule dans un circuit fermé ; l'objet qui se trouve dans le chemin de cette lumière est poussé vers un autre objet, parce que là où nous avons de la matière il y a une dépression - une partie de l'énergie est transformée en mouvement propre ou en lumière pour donner forme à la matière (et ça reste dans un circuit fermé) donc, il y a moins d'énergie gravitationnelle qui sort de l'objet pour continuer son parcours, comparé à l'énergie qui sort d'un espace vide équivalent à l'objet (de là où il n'y a pas d'énergie emprisonnée dans un circuit fermé). En conséquence, les couches des particules D sont poussées par l'espace vers le corps matériel, d'où il vient moins d'énergie (pour comprendre cela plus facilement : imaginez que vous projetez la lumière d'une lanterne sur deux objets alignés dans l'espace et en face de vous, de l'autre côté de ces deux objets, quelqu'un fait la même chose - résultat : les faisceaux de lumière poussent les deux objets l'un vers l'autre). L'espace « vide » - celui où il n'y a aucune particule matérielle (pas de protons ou d'atomes...) - exerce plus de pression sur les particules D qui lui sont adjacentes que l'espace où nous trouvons de la matière (protons, atomes... qui gardent, pour former leur propre structure, au moins une partie de l'énergie).
En d'autres mots, l'énergie qui circule dans les circuits fermés, qui forment les atomes, n'est plus une énergie qui circule librement dans l'espace ; par conséquent, la matière engendre une dépression autour d'elle. Cette dépression se traduit physiquement par le déplacement de couches de particules D vers la matière respective - on dit alors que l'espace est tordu (ou comprimé autour de l'objet).
La lumière émise par chaque particule D s'en va dans toutes les directions et elle retrouve d'autres particules D dans son chemin... Donc, les particules D se repoussent réciproquement ; ce qui donne naissance au premier type de mouvement, le mouvement primordial.
Quand nous avons un équilibre quasiment parfait - les émissions et les réceptions d'énergie sont dans un équilibre total - il n'y a rien d'autre (tout s'arrête là, il n'y a que de l'espace, de l'éther) ; car chaque particule D reçoit autant d'énergie qu'elle en distribue, et elle reçoit cette énergie de façon équilibrée de toutes les directions, et elle distribue de l'énergie de façon identique dans toutes les directions.
Pour avoir une création il faut avoir des déséquilibres : des différences comme celle du Soleil à une Planète, du positron à l'électron, de la proie au prédateur, etc. Car là où tout est pareil, là où tout est dans un équilibre parfait, il n'y a « rien ». L'existence complexe, telle que vous la voyez autour de vous, est possible grâce aux déséquilibres et contrastes.
Notre Univers fut créé grâce à un grand déséquilibre dans l'espace : Après l'effondrement, sur soi-même, de l'Univers précédent, cette zone était en surpression vis-à-vis de l'espace qui l'entourait ; et l'expansion (ou l'explosion) d'énergie créée par cette surpression a engendré la matière et la dynamique de notre Univers. Les premières particules qui peuvent construire durablement de la matière sont le positron (+) et l'électron (-) ; des contrastes absolus qui, en échangeant de l'énergie - très proches les uns des autres - deviennent des quarks. Ces derniers forment des protons et des neutrons qui, ensemble, composent les noyaux d'atomes, et les atomes se combinent pour former des molécules...
Les dérivés, les anomalies, les réactions et les formes possibles que la matière peut prendre sont très nombreuses ; mais tout est construit par « de -1 et de +1 » d'énergie (ou de l'espace). Si l'on prend en compte le « neutre » (l'espace « vide »), nous avons « de -1, de 0 (ou de l'espace en équilibre) et de +1 »
Le 0 c'est où le tissu de l'espace est intact - et le nombre de particules D est normal. Dans une zone -1 il manque une particule D. Et dans la zone +1 il y a une particule D en trop. Avec cela, nous avons les briques pour construire toute la matière : l'électron, e-, et le positron e+. Avec ces deux éléments est créée toute la matière qui compose l'Univers.
La formation, puis l'évolution, d'un Univers dépend de toutes les forces internes et externes qui s'exercent sur lui... D'autres Univers évoluent autour du notre et exercent en permanence une influence sur lui ; plus précisément, l'espace exerce une Force sur notre Univers, en tenant compte de tout ce qu'il y a autour de lui et en lui.
La puissance de l'explosion primordiale (le big-bang) est suffisamment importante pour créer les particules subatomiques. Sous la forme de rayonnement électromagnétique, très chargé en énergie, les particules D se bousculent les unes les autres pour former une « soupe » d'énergie et de particules subatomiques...
A chaque fois qu'une particule D quitte complètement sa position, elle donne naissance à un électron et un positron (même si, par la suite, la particule D reprend sa place initiale par rapport à ses voisines). Le vide, que la particule D laisse derrière elle pour quelques instants, provoque une dépression qui attire de l'énergie ; c'est la formation d'un électron. Simultanément, le trop-plein - que la particule D produit, pour quelques instants, dans la zone où elle s'est déplacée - engendre une surpression qui pousse de l'énergie ; c'est la formation d'un positron.
Si ces deux particules (l'électron et le positron) se rencontrent elles s'annulent réciproquement. Mais si l'énergie est suffisante les particules réussissent à se former et à s'éloigner l'une de l'autre.
Quand les électrons et les positrons se retrouvent, très à proximité, par trois, ils se déforment - dans un échange d'énergie, triangulaire, perpétuel ; devenant ainsi des quarks. Deux électrons et un positron donnent naissance à un neutron ; deux positrons et un électron donnent naissance à un proton. Le fait que le proton possède une charge électrique positive alors que le neutron est neutre (au lieu d'être négatif, suivant la logique - - +) c'est une question de géométrie spatiale d'énergies...
Avec des protons et des neutrons se forment les noyaux d'atomes, qui étant chargés positivement, capturent des électrons. Une fois formés, les atomes, dans des conditions plus calmes qu'à la naissance de l'Univers, peuvent évoluer durablement.
En résumé, les atomes sont du rayonnement électromagnétique évoluant dans un circuit fermé, un échange des énergies entre les particules positives et les particules négatives.
La matière évolue dans l'espace selon des principes simples et logiques.
La vitesse C (la vitesse de la lumière) est la vitesse avec laquelle les particules D subissent des transformations dans l'espace ; et, parce que les particules D sont toutes de la même nature, la vitesse C est une constante.
Le Temps est simplement l'unité de mesure pour le Changement dans un espace donné et en référence directe au standard d'évolution dans l'espace : la vitesse de la lumière.
La matière qui se déplace dans l'espace ne peut pas évoluer à plein temps dans son intérieur car - comme l'évolution totale est égale à C - la vitesse de transformation dans son intérieur est ralentie du fait que l'énergie doit en même temps se déplacer dans l'espace, donc à l'extérieur. En revanche, un corps statique, qui ne se déplace pas dans l'espace, peut évoluer à plein temps dans son intérieur ; et son temps est complet.
Par conséquent, le temps concret n'est pas pareil pour un corps en mouvement comme pour un corps statique. Mais les raisons ne sont pas du tout celles qu'Einstein a proposées et que toutes les brebis ont pris pour de la vérité absolue ! La cause de ces différences d'évolution - ou de transformation des objets en fonction de leur vitesse dans l'espace - est simplement le bon sens : si vous vous déplacez dans l'espace - et la vitesse totale de l'énergie est une constante, C - vous ne pouvez plus avoir la même vitesse dans les échanges d'énergie qui se réalisent en permanence dans votre intérieur... Même un enfant de huit ans est capable de comprendre que si vous vous déplacez, à l'extérieur, avec une certaine vitesse - et votre vitesse totale est une constante - vous ne pouvez plus tourner en votre intérieur avec la même vitesse comme en statique !
L'espace est en 3 dimensions, qui sont infinies autant vers le macrocosme que vers le microcosme.
La vitesse de la lumière est la vitesse avec laquelle l'énergie évolue dans l'espace.
Le temps est l'unité de mesure pour mesurer le Changement. Et le Changement est engendré par le mouvement permanent de l'énergie...
L'espace est en 3 dimensions, exactement comme vous le percevez autour de vous. Et il est ainsi partout et dans toutes les conditions que l'on peut trouver dans le Cosmos. L'espace, peut être déformé par endroits - si une pression est exercée sur lui, à la manière dont un objet peut être déformé si on le comprime - mais il sera toujours en 3 dimensions ; jamais 4, ou plus, et jamais 2, ou moins ! Il est essentiel que vous compreniez que l'Existence concrète est toujours en 3 dimensions ! Autrement, si vous confondez la mathématique ou l'imagination (où l'on peut avoir autant de dimensions que l'on souhaite !) avec la réalité concrète, il vous sera impossible de comprendre les lois logiques de l'Existence... car vous risquez toujours de mélanger le réel avec l'imaginaire, la logique avec l'illogique, la vérité avec l'illusion...
Parler d'une Existence en 4 dimensions, ou plus... ça n'a pas plus de sens que de parler d'une Existence en 2 dimensions, ou moins ! - et, en fin de compte, ça n'a aucun sens. Si vous avez ne serait-ce qu'un peu de sens logique dans votre esprit, vous comprenez déjà très facilement que l'on ne peut avoir absolument rien de concret, de réel, en 2 dimensions ! Imaginez une feuille de 10 cm de large sur 20 cm de long... mais qui « a » une épaisseur, ou une hauteur, de 0 cm ! C'est-à-dire, absolument, rien comme hauteur ! Nous sommes bien d'accord que cela ne peut pas exister ! Car si vous n'êtes pas capable de comprendre cela... ce n'est même pas la peine de continuer ! Laissez ce livre immédiatement, et faites autre chose ! Continuez, par exemple, à imaginer une existence en 2, 4, 8, 11... dimensions, des instants 0, un espace-temps et un passé-futur qui ne font qu'un, des particules exotiques et des énergies mystérieuses... et tout ce que vous voulez ! Ou dirigez-vous tout simplement vers les domaines artistiques où la fantaisie peut primer devant la Raison. Pour comprendre La Théorie D les mots d'ordre sont : Recherche, Observation, Analyse, Étude, Comparaison, Synthèse, Logique et Raison.
Dans cet ouvrage, je fais largement appel à votre intelligence et à votre sens logique... à votre Raison. Et si vous êtes du genre trop imaginatif mais pas assez logique - comme notre ami Einstein (qui, au lieu de comprendre que l'énergie évolue dans l'intérieur de la matière et à l'extérieur de celle-ci, il a rajouté à l'espace encore une dimension imaginaire, pour que ça soit formalisé mathématiquement) - alors vous aurez du mal à comprendre cet ouvrage, ainsi que La Réalité telle qu'elle est.
Il est essentiel de ne pas confondre la réalité - par exemple la réalité de la physique des particules et de la cosmologie... - avec l'imagination ou la mathématique ! La mathématique est comme la littérature... elle peut décrire des réalités mais elle peut aussi décrire de l'imagination et même des absurdités illogiques. Avec des mots, on peut dire facilement : « Un éléphant battait tranquillement de ses oreilles et volait au-dessus de la savane comme un vautour... » Les mots nous permettent d'affirmer cela sans aucun problème ! La mathématique nous permet aussi de dire cela : il faut juste avoir des mouvements corrects du point de vue aérodynamique et une cadence de battements d'oreilles suffisamment rapide (donc, notre éléphant peut voler - plutôt comme « une abeille », car il doit agiter beaucoup ses oreilles - mais, mathématiquement, il peut voler). Cependant - compte tenu de la Force Gravitationnelle et de l'atmosphère qu'on trouve sur notre planète... ainsi que de la corpulence de l'éléphant et de ses oreilles qui ne sont pas adaptées pour le vol - on sait que cette affirmation, même si elle est parfaitement correcte du point de vue littéraire et mathématique, n'est pas une vérité concrète, ni une réalité. Avec la mathématique : vous pouvez formaliser une existence imaginaire en 4, 5, 11... dimensions, créer des instants 0 et même voyager dans le temps... Mais cela ne veut pas dire que l'Existence, la réalité, s'adapteront à votre imagination... La mathématique - ou du moins la mathématique destinée à décrypter la Réalité - doit s'adapter à la Réalité ; le vice-versa est impossible. Le Cosmos existe « déjà » depuis toujours... et le bon sens, la logique ou le Bon Ordre, aussi. L'Existence fonctionne selon une logique parfaite, et l'espace, en 3 dimensions, fait aussi partie de cette logique.
Comme elle peut agir sur la matière, l'énergie agit aussi sur l'espace. Donc chaque particule D qui compose l'espace peut recevoir plus ou moins d'énergie en provenance d'une direction ou d'une autre ; cela va modifier son positionnement dans l'espace par rapport à d'autres particules D - et l'espace est déformé. Comme elle circule sur des rangées de particules D, la lumière va suivre la déformation de l'espace.
La Force Gravitationnelle d'un corps massif va engendrer une déformation de l'espace ; une déformation perceptible. Concrètement, les couches de particules D sont pressées par l'espace vers le corps, ce qui induit, sur tout l'espace qui entoure le corps, une déformation.
Dans des conditions normales, les particules D sont rangées dans l'espace de manière symétrique, et équidistantes les unes des autres. Puis, la matière est formée par des positrons - qui, par rapport à l'espace « vide », contiennent chacun une particule D en trop - et par des électrons - qui, par rapport à l'espace « vide », contiennent chacun une particule D en moins. Jusque-là tout semble bien équilibré. Sauf que ces particules positives et négatives ont des échanges d'énergie privilégiés les unes avec les autres ; alors que dans l'espace (dans l'espace sans matière) les particules D dispersent leur énergie dans toutes les directions. Par conséquent, comme elle est composée d'électrons et de positrons, la matière (à la suite de ses échanges à courte portée, à la suite de sa relative autarcie) donne naissance à une dépression : comme il y a plus d'échanges d'énergie entre les particules, il n'y a plus la même quantité d'énergie qui part vers l'espace « vide » (l'espace adjacent à la matière). Résultat, la matière est pointée de toutes les directions par l'énergie de l'espace, qui, lui, envoie - équitablement - de l'énergie dans toutes les directions : cela donne existence à la Force Gravitationnelle.
Dans l'espace et dans la matière, l'énergie cherche toujours l'équilibre. Comme elle utilise une partie de l'énergie pour créer son propre corps, la matière distribue moins d'énergie vers l'espace. Résultat : il y a plus d'énergie qui vient de l'espace vers la matière que d'énergie qui part de la matière vers l'espace ; cela donne naissance à la Force « d'attraction » Gravitationnelle. Donc, la Force Gravitationnelle n'est pas une attraction de la part des corps... mais une Poussée Gravitationnelle de la part de l'espace ; c'est l'espace qui exerce cette poussée vers les zones de dépression où se trouve de l'énergie emprisonnée, de la matière.
Concrètement, la Poussée Gravitationnelle agit directement sur les particules D qui composent tout l'espace. Ainsi, l'espace est déformé : les lignes de particules D sont comprimées vers le corps. Cela est valable même pour un corps minuscule, mais la déformation est imperceptible, tandis que pour un corps suffisamment massif nous avons une déformation perceptible.
Pour résumer, nous pouvons affirmer que l'espace peut être déformé, comme un tissu ou comme un matériel plastique ; mais l'espace reste toujours en 3 dimensions.
Si l'on prend en compte le fait que l'espace est infini (autant vers le microcosme que vers le macrocosme) et que cela passe, dans les deux directions, par des Multivers (qui incarnent chacun, à leur échelle, toute une Existence) rajouté, à cela, le fait que déjà à chaque échelle le nombre de Multivers est infini... nous pouvons aussi affirmer que l'espace comporte une infinité de dimensions, chacune d'elles étant à son tour en 3 dimensions. Mais, pour éviter les confusions, il vaut mieux affirmer que : l'espace est en 3 dimensions ; et le Cosmos infini contient, à toutes les échelles, une infinité de Multivers ou d'Existences.
Partout, dans cet espace infini en 3 dimensions, la matière et l'énergie évoluent selon des Lois universelles.
La vitesse de la lumière (la vitesse C, de 299 792 458 m/s) est simplement la vitesse avec laquelle les particules D transmettent leur énergie des unes aux autres ; ou la vitesse avec laquelle les particules D se déplacent elles-mêmes quand elles reçoivent une énergie supérieure à leur inertie...
Quand un surplus d'énergie est appliqué sur une particule D, celle-ci est poussée vers une autre... et transmet le mouvement sur la ligne de particules D qui se trouve dans la direction du mouvement... Sous l'effet de l'énergie - de la pression exercée sur les particules D - certaines particules D sortent de leur rangée linéaire ; créant ainsi les ondulations, caractéristiques des ondes électromagnétiques. Plus il y a de l'énergie plus il y a des ondulations. C'est comme si vous pliez une tige... sauf que cette « tige » formée par des particules D est segmentée, parce qu'il y a du vide (ou plutôt de l'espace) d'une particule D à une autre. Par conséquent, l'ondulation, ou le pliage, s'effectue par des pas qui représentent la distance d'une particule D à une autre. Pour un pas (la distance d'une particule D à une autre) nous avons l'énergie standard : la constante Planck, h. Donc l'énergie de chaque photon est un multiple de la constante h parce que le pliage d'une ligne de particules D ne peut se faire qu'entre les particules.
Les photons se déplacent toujours avec la même vitesse, indépendamment de la quantité d'énergie qu'ils possèdent. Pour le son c'est pareil, ce n'est pas parce que vous allez crier plus fort qu'il aura plus de vitesse, il y aura seulement plus d'énergie ; mais l'énergie du son se disperse partout dans l'atmosphère ce qui fait que le son plus fort sera audible plus loin que le son plus faible, et qu'au bout d'une certaine distance, qu'il soit fort ou faible, le son sera entièrement assimilé par les molécules de l'atmosphère ; de ce fait, le son est plutôt comparable à la Force Gravitationnelle qui empli tout l'espace d'autour d'un corps, et à partir d'une certaine distance a une influence nulle. En revanche, l'énergie de la lumière reste toujours sur son axe ; et elle peut voyager indéfiniment, avec la condition que l'espace qu'elle traverse ne soit pas soumis à des changements importants, comme par exemple une dilatation ; car si un espace est en expansion, au bout d'un certain temps les rayonnements les plus faibles disparaîtront - le pliement, l'ondulation, qu'ils possèdent disparaîtront avec la dilatation générale de tout l'espace.
La quantité de l'énergie d'un photon se traduit physiquement par un nombre distinct d'ondulations et non pas par une vitesse distincte.
La vitesse de la lumière est donnée par l'évolution de particules D, et, comme elles sont toutes de la même nature, nous avons une constante. Toutefois, la lumière n'a pas la même vitesse dans tous les matériaux. La vitesse avec laquelle se transmet l'énergie entre les particules D dans l'espace - la vitesse de la lumière, près de 300 000 km/s - est la plus élevée parce que dans l'espace les particules D sont les plus stables, les plus fixes ; l'espace est le matériel le plus dur, le plus rigide. Dans l'eau - où les particules D sont remuées en permanence par les atomes qui la composent - la lumière avance un tiers moins vite. Pour refaire encore une analogie simple, vous pouvez observer aussi que le son n'avance pas partout pareil : environ 340 m/s dans l'air de l'atmosphère ambiante, qui est moins stable et plus raréfié, et environ 6000 m/s dans l'acier qui est plus stable et plus dense. Quand elle doit traverser de la matière, la lumière perd de sa vitesse parce qu'elle est sur un terrain moins stable : les particules D que l'on trouve dans la matière sont remuées, perpétuellement, par les champs électromagnétiques de celle-ci.
La plupart de matériaux possèdent des structures trop compliquées pour que toute la lumière puisse les traverser. En règle générale, plus la lumière est chargée en énergie (elle possède plus d'ondulations) plus elle a de chances de heurter les ondes électromagnétiques du matériel qu'elle traverse et d'être absorbée par celui-ci. C'est pourquoi, contrairement à la lumière visible par l'œil, la lumière infrarouge - plus faible en énergie - peut traverser des murs.
Quand un atome absorbe un photon il rentre dans un état d'excitation, car le surplus d'énergie ne trouve pas sa place, naturellement, dans les réseaux d'énergie de l'intérieur de l'atome, qui sont clairement établis ; selon l'énergie qu'il reçoit, l'atome va émettre des photons qui portent sa propre marque (une énergie spécifique à lui, « fabrication maison »). C'est-à-dire que pour émettre ses propres photons, l'atome peut accumuler plusieurs photons plus faibles pour avoir la quantité qu'il lui faut ; ou, selon le cas, il va diviser un photon plus fort en plusieurs parties, pour émettre ses photons personnalisés. Cela est dû à la forme et à la force énergétique, qui diffèrent d'un atome à l'autre - pareil aux cordes d'un instrument musical qui émettent de l'énergie à leur manière, chaque atome émet de l'énergie à sa propre manière.
L'énergie et la matière sont fondamentalement la même chose : de la lumière ; d'où la formule E = mC2. La lumière est de l'énergie à l'état libre ; et la matière c'est de l'énergie dans un circuit fermé. Cela parce que les électrons et les positrons (qui à l'intérieur des noyaux, de neutrons et de protons, se trouvent sous la forme de quarks) échangent de l'énergie entre eux et, de la sorte, ils la centralisent et ils l'enferment. Ainsi, l'énergie qui forme la matière reste emprisonnée... mais c'est toujours de l'énergie de la même nature intrinsèque que celle qui circule librement.
Pour l'énergie, la vitesse de la lumière est la seule qui existe réellement ; c'est elle qui pose les fondements de toutes les énergies et de tous les matériaux.
L'énergie qu'on trouve dans un objet est en mouvement permanent dans l'intérieur de celui-ci - un mouvement qui à l'échelle la plus fondamentale a toujours la vitesse C, et qui, énergétiquement parlant, c'est toujours du C2.
Quand un objet est statique l'énergie circule en son intérieur de façon équilibrée de toutes les directions vers toutes les directions - c'est de ce fait qu'il est statique, car tous les vecteurs de forces, toutes les directions, s'annulent mutuellement. Ensuite, comme tous les objets sont déjà, en leur intérieur, en mouvement avec la vitesse C, en réalité, il est impossible de les accélérer à proprement dit. Par conséquent, quand vous poussez un objet dans une direction, vous le chargez en énergie. Cette énergie rencontre une résistance (une opposition) ; et cette résistance est proportionnelle à l'énergie appliquée : ainsi, 10 km/h de vitesse représentent, en énergie, « 10 x 10 », soit quatre fois plus d'énergie que 5 km/h de vitesse, qui valent 5 x 5. C'est-à-dire que la lumière rencontre aussi une résistance, une opposition, de la part de particules D qu'on trouve dans l'espace et qui possèdent leur propre inertie...
Conséquence : toutes les vitesses sont - énergétiquement parlant - au carré.
Finalement, c'est directement l'espace (via les particules D) qui oppose une résistance, une inertie, face à toute modification - d'où le carré de la vitesse, pour toutes les énergies.
Comme la vitesse de la lumière concerne l'évolution de particules D, qui composent tant l'espace que l'énergie et la matière, il est normal qu'elle soit le repère pour évaluer le degré de Changement d'un matériel ou d'une énergie ; et le temps.
Le temps est l'unité de mesure pour le Changement.
Si un objet est statique la lumière qui lui donne forme évolue entièrement, avec tout son potentiel, en son intérieur ; par conséquent, le Changement (et le temps) est complet, est à son maximum. En revanche, quand l'objet est en déplacement la lumière évolue en partie en son intérieur et en partie en son extérieur (tout en faisant partie de son corps) - et les réactions internes, le Changement (et le temps), sont réduites. Pour comprendre cela plus facilement, réalisez l'exercice suivant : placez un ami sur une position fixe comme point central - et vous, en marchant avec une vitesse constante autour de lui, effectuez des cercles égaux ; ensuite, demandez-lui de se déplacer lentement... et, vous, vous continuez de faire des cercles autour de lui en conservant toujours la même distance de lui et avec la même vitesse qu'auparavant - vous allez comprendre, facilement, que pendant qu'il se déplace... vous réalisez moins de cercles. Pour la matière, c'est pareil : s'il y a du déplacement externe, les réactions internes sont moins rapides, car tout est une question de probabilités et de conjonctures géométriques ; tous les changements qui se produisent dans l'intérieur de la matière - et qui définissent ainsi son temps, sa transformation - dépendent entièrement du nombre « de cercles » (de conjonctures géométriques) qui se réalisent en son for intérieur. Radioactivité, changements entre les diverses connexions moléculaires, métamorphose de cellules... tout dépend de la vitesse avec laquelle la lumière évolue à l'intérieur, car tout est lié aux probabilités et aux conjonctures géométriques qui transforment la matière. Un certain alignement des électrons va déclencher des décompositions moléculaires ; un certain alignement des protons et de neutrons va déclencher des décompositions de noyaux (la radioactivité) ; puis, la matière et la vie dépendent directement de cela.
Avec du mouvement, il y a du Changement et par rapport à Celui-ci (par rapport aux transformations), en marquant les différences, nous avons développé la notion de temps - qui est la mesure du Changement. Les fractions de temps - secondes, minutes, heures... - sont, tout simplement, des unités pour mesurer le Changement, à notre manière...
La Terre tourne autour du Soleil dans un an et autour de son axe dans une journée ; ces mouvements sont très marquants pour la vie sur Terre, pour les êtres humains et pour les unités de mesure utilisées. Le temps connu - heures, minutes, secondes... - fut créé par l'homme, tout comme les autres unités de mesures, pour prendre des repères facilement tangibles par son intellect, et utiles pour ses besoins.
Les réactions chimiques et les désintégrations de noyaux atomiques sont des repères plus universels. Mais c'est surtout par rapport à l'énergie la plus universelle, les ondes électromagnétiques, que l'on peut établir une mesure universelle du Changement - et par conséquent l'unité de temps la plus universelle.
Si toute l'énergie d'un objet évolue en son intérieur son Changement est complet ; c'est-à-dire que le temps est complet aussi. Si l'objet se déplace, une partie de son Changement disparaît à cause de cette évolution externe - et le Changement interne, donc son temps, est moins rapide.
En le disant de la manière la plus simple possible : le temps est - tout simplement - l'unité de mesure pour le Changement.
Puis, comme le Changement est présent, simultanément, à l'extérieur et à l'intérieur d'un corps, l'évolution est en partie externe et en partie interne. En conséquence, si vous allez voyager avec une vitesse proche de celle de la lumière, les atomes, les molécules, les cellules... de votre corps vont ralentir leur évolution car leur énergie sera, en grande partie, transposée dans le mouvement externe ; à proprement dit, dans votre déplacement.
Si un atome se déplace rapidement dans l'espace ses électrons ne peuvent plus faire de « cercles » autour du noyau avec la même cadence. Et, s'il y a moins de Changement, il y a moins de temps écoulé pour l'atome. Et comme tous les corps sont composés d'atomes quand ils sont en déplacement, tous, évoluent moins rapidement dans leur intérieur.
Pour résumer, nous pouvons dire que le temps n'existe pas ; du moins, pas tel qu'il est aperçu et conçu par l'intellect général de l'humanité d'aujourd'hui. Le temps est une simple unité de mesure comme le poids ou la longueur, avec la particularité qu'il mesure le Changement ; cela fait en sorte qu'il soit particulièrement volatile et insaisissable.
Le mouvement est à l'origine de Tout. Et avec Le mouvement Le Bon Ordre construit l'Existence.
Il n'est pas facile de comprendre cela réellement et complètement ! Ils sont nombreux les penseurs qui ont essayé de déchiffrer les Lois de l'Existence, et sont tombés dans des pièges comme ceux du temps et de l'espace...
Durant une seconde dans le Cosmos infini, il y a une infinité de changements et pour revenir dans le passé, il faut défaire cette infinité de mouvements - c'est-à-dire les refaire en sens inverse ! Pour un tel travail, il faut beaucoup de temps... Une infinité de changements, c'est « considérable » ! Par conséquent, le voyage, à proprement dit, dans le temps, n'est pas possible. D'ailleurs, où voyager ? Car le futur n'existe pas encore et le passé n'existe plus !
Le Changement est permanent... Et l'Existence est dans un présent perpétuel. Le passé n'existe plus et le futur n'existe pas encore : cependant, le présent est l'œuvre accomplie du passé et l'architecte du futur. Mais, finalement, le présent est si éphémère que l'on peut même se douter de son réel ! et c'est justement là... qu'il faut comprendre sa consistance : tout le passé est en lui - les milliards d'années d'évolution de notre Univers ne sont pas ailleurs - dans une autre dimension ! - ils sont dans les molécules et les cellules qui nous composent et qui ne cessent d'accumuler de l'Ordre, du Bon Ordre, et de la Complexité. Face au Changement, qui est aussi le moteur de l'évolution, les éléments faibles ou mal formés ne résistent pas ; tandis que ce qui est intelligemment construit - selon un Bon Ordre, selon un bon sens, selon une logique harmonieuse - peut se diversifier et prospérer... La Vie en est le meilleur exemple.
Le Cosmos infini est en 3 dimensions, Il est rempli de l'action illimitée de la lumière et Il est dans une transformation éternelle, engendrée par le mouvement qui génère du Changement. Et le temps, n'est ni plus ni moins que l'unité de mesure pour le Changement.
Pour leur création, toutes les particules ont besoin d'un mouvement initial conforme aux nécessités propres pour leur naissance, pour leur construction. Ensuite, elles peuvent continuer leur existence grâce à l'harmonie des unes avec les autres et avec l'énergie fondamentale de l'espace.
Les particules, de toutes les sortes, peuvent se détruire devenant de l'énergie ou se transformer en d'autres particules ; mais rien n'est jamais perdu. L'énergie ne se crée et ne se perd jamais. Quand une quantité d'énergie « disparaît », en vous laissant l'impression qu'elle a été consumée, en fait elle s'est transformée dans un autre type d'énergie, moins saisissable et souvent moins utilisable... et parfois même nocive à la vie ; mais, à l'échelle fondamentale (au niveau des particules D et de l'espace) il n'y a jamais ce que l'on pourrait appeler, à proprement dit, une consommation ou un achèvement de l'énergie.
A échelle du Multivers l'énergie est constante et équilibrée ; mais, dans l'intérieur du Multivers, les Univers sont - perpétuellement - en création et en destruction ; donc, dans des perpétuels déséquilibres d'énergies qui donnent naissance à des conditions existentielles comme celles que vous voyez : avec des positrons et des électrons, des étoiles et des planètes... puis de la vie et de sentiments... dans une évolution permanente, dans un changement perpétuel.
Avec les particules composées - comme les atomes et les molécules - les conditions de l'Existence deviennent de plus en plus complexes. Cela permet l'existence à d'autres choses, puis à d'autres et à d'autres... Et l'Univers devient de plus en plus complexe. Pareillement, avec les trois couleurs - rouge, vert et bleu - nous pouvons créer une multitude d'autres couleurs et nuances, l'Univers peut aussi créer de plus en plus de complexités avec les deux types de matériaux élémentaires : les positrons et les électrons ; et les deux formes d'énergies fondamentales : la Force Gravitationnelle et les ondes électromagnétiques.
Avec des étoiles, des planètes, des molécules... le chemin vers la complexité est ouvert. L'énergie qui forme la matière s'adapte en permanence aux conditions de son environnement. Les atomes peuvent changer d'espèce (à l'intérieur du noyau d'une étoile massive, les atomes légers - l'hydrogène, puis l'hélium... - sont comprimés pour former des atomes plus lourds - l'oxygène, le silicium, le fer...).
Dans un environnement suffisamment calme, les atomes peuvent se coller les uns aux autres pour former des molécules. C'est surtout dans ce type de conditions - dans le monde du milieu (comme sur Terre), où les forces du macrocosme et celles du microcosme se rencontrent en douceur - que la complexité peut se manifester abondamment.
L'explosion d'une étoile, c'est une force créatrice. Cela offre à l'espace sidéral des éléments indispensables pour créer la vie telle que nous la connaissons ici sur Terre. Et, avec le temps, regroupés par la Force Gravitationnelle, tous ces éléments peuvent se retrouver dans des circonstances favorables pour engendrer encore plus de complexité...
Puis, après la création d'une planète comme la Terre, la Vie peut, éventuellement, surgir... et évoluer ! Et pour tout cela, il n'a fallu que du mouvement.
Tout autour de vous, absolument tout, c'est de la lumière. L'énergie, la matière, les animaux, les esprits, vous-même... tout est composé de : lumière.
Fondamentalement, dans toute l'Existence, il n'y a qu'une seule Force : Le Mouvement.
Notre Force Gravitationnelle est de la lumière - émise par les particules D - dispersée dans tout l'espace ; et notre lumière c'est aussi de la lumière - toujours de celle émise par les particules D - mais concentrée sur un axe précis.
Plus tard - une fois que la plupart de l'agitation initiale de l'Univers sera consumée, stabilisée ou calmée (l'entropie s'approchera de son maximum) - notre Univers ira vers le calme absolu : le mouvement uniforme de toutes les particules D, l'entropie globale, l'uniformité totale, le nirvana, le final...
Mais durant son repli sur soi-même, l'Univers se préparera déjà pour un nouveau commencement... Et le calme absolu ne surviendra jamais, car notre Univers, comme tous les autres d'ailleurs, est ce que l'on peut appeler : un nœud de création, un germe perpétuel de l'Existence... - où la naissance, la vie, la mort et la renaissance s'ensuivent perpétuellement...
Sous l'influence des autres Univers, le nôtre est d'abord empli en énergie. Et, toujours sous l'influence des autres Univers, quand il sera trop plein, notre Univers va commencer à se vider... - ce sera le repli sur soi-même, puis sa destruction et sa renaissance...
Fondamentalement, dans le Cosmos infini, il y a une seule « Loi » : la liberté totale (ou aucune loi) ; et une seule force : le mouvement.
Ensuite, le mouvement - celui de particules D - peut engendrer, directement, deux types d'énergies : la force gravitationnelle et les ondes électromagnétiques ; et deux types de matériaux : les positrons et les électrons. Simultanément, la liberté totale peut engendrer d'abord deux lois : l'harmonie (qui est relative mais qui devient constructrice et génératrice d'un équilibre durable) et la discorde (la conjecture ou la confrontation destructrice, qui est l'ombre de l'harmonie, ou le défaut). En d'autres mots, avec le mouvement en liberté totale, ce qui est bon - en harmonie - peut se construire durablement ; tandis que ce qui est mauvais - en discorde - ne tient pas longtemps. Par conséquent, ce sont les énergies les plus claires et les particules les plus stables qui posent les bases de l'Existence.
La liberté absolue n'existe que pour le Cosmos infini (quelque part en Celui-ci tout peut exister). Tandis que chaque chose a une liberté conditionnée par son milieu et surtout par soi-même, par ses propres limites. Mais cette liberté conditionnée c'est la seule possible et la seule nécessaire pour quelque chose de limité. Pour vivre dans son habitat, un animal n'a pas besoin de plus de liberté que celle qu'il possède. Puis les limites - de toutes les sortes - sont absolument nécessaires pour avoir une Existence, car sans limites - sans ces mêmes limites qui engendrent aussi les défauts de l'Existence - il n'y aurait pas d'Existence ! Pour créer une œuvre - une planète, un arbre, un édifice, un objet... - les règles et les limites sont absolument indispensables ; et l'Univers est régi par des limites et des règles claires et précises ; ce, pour la simple raison qu'autrement il n'y aurait pas eu un Univers tellement complexe et logique. Evidemment, toutes les règles et les limites se créent naturellement par les interactions entre les diverses Forces Cosmiques et Quantiques.
Comme le Cosmos est éternel, C'est Un Bon Ordre, parfaitement logique, qui est installé en Lui et, ce, depuis toujours. Les particules D, la gravitation, la lumière, l'électron, le positron... sont des créations logiques et réglementées, car le Cosmos éternel (qui existe depuis toujours) « a eu largement le temps » d'acquérir un bon sens, Un Bon Ordre parfait. Puis, tout ce qui est conforme avec Le Bon Ordre peut évoluer durablement...
En l'occurrence, comme le Cosmos existe depuis toujours, Le Bon Ordre existe aussi depuis toujours. Notre Univers est jeune et encore en pleine ébullition (comme un enfant), mais à l'échelle du Cosmos - et même à l'échelle de notre Multivers - ce n'est pas l'énergie, c'est l'Intelligence qui domine...
Pour le comprendre plus facilement, cet ouvrage doit être lu dans l'ordre. Mais chaque chapitre est conçu pour être aussi compréhensible même sans avoir lu les autres. Le premier chapitre est, pour la plupart des lecteurs, le plus difficile à comprendre ; mais une fois acquis, il sera relativement facile de comprendre les autres.
Dans cet ouvrage vous avez toutes les explications nécessaires pour comprendre correctement les fondements de l'Existence : la partie physique de l'Existence ; l'espace, l'énergie et la matière. Mais, pour bien comprendre tous les enseignements que vous avez dans cet ouvrage, vous devez analyser et raisonner cela comme un tout ! et non pas comme des enseignements qu'on peut séparer les uns des autres ! Par conséquent, il vous faut du temps - beaucoup de temps, de la lecture et des raisonnements... - pour tout arranger dans l'ordre et pour tout associer, logiquement, dans votre propre esprit.
Chapitre 1 :
L'Espace-masse-mouvement-lumière
Dans ce chapitre vous avez les fondements de l'Existence, les explications concernant : l'énergie, son origine, sa composition et ses formes ; la matière, l'espace, le temps...
L'espace et la matière sont toujours de l'énergie sous diverses formes. Fondamentalement, tout est la même chose : de l'énergie. Puis l'énergie, elle-même, c'est seulement du mouvement, mouvement qui est généré par la lumière d'une dimension plus petite...
Cela peut paraître extrêmement volatil, mais c'est tout le contraire, car les particules D sont stables, éternelles. Puis, elles évoluent dans un espace - en 3 dimensions - infini ; où est à l'œuvre le Bon Ordre, et où le Changement est permanent ; le changement qui opère autant à l'intérieur de chaque corps comme à l'extérieur. Et ce Changement a comme unité de mesure le temps...