La Particule D

La particule de « Dieu »

La particule de « Dieu » est la particule élémentaire qui fait le lien entre la physique quantique et la cosmologie. Elle est aussi à l'origine de la Force gravitationnelle... Et... elle répond aussi à ce qu'est :

  • L'énergie et la matière,
  • La constante de Planck et L'infini,
  • L'espace et La Force Gravitationnelle,
  • Le C^2 toujours au carré,
  • L'Électron et Le Positron (la matière et antimatière),
  • L'énergie noire,
  • L'intrication quantique...

La particule D

Comme il est plus difficile de visualiser la particule D, visualisez le Multivers :

Une sphère gigantesque, dans laquelle évoluent des étoiles, galaxies et Univers ; toutes ces énergies sont fluctuantes, mais l'ensemble est d'une stabilité extrême... ; La particule D, c'est un Multivers en miniature

L'Infini + des éléments stables → Une Existence concrète et cohérente

Pour que le mouvement puisse s'organiser, il existe Une Particule avec une durée de vie infinie et une stabilité perpétuelle : la particule D, ou le Multivers. Elle est la plus grande particule ou élément du Cosmos, en tant que Multivers, abritant une multitude de versions de l'Existence - Univers, planètes, vies... -, et la plus petite en tant que particule élémentaire, particule D, support fondamental pour toutes les autres particules (électrons, protons, atomes...) et énergies.

L'espace, la matière, l'énergie... - tout ce qui est visible et tout ce qui est invisible - sont formés par des particules D et leur mouvement, qui est généré par leur propre lumière.

Entre la particule D - la particule élémentaire de l'Existence - et le Multivers - la matrice dans laquelle évolue chaque Existence - nous avons : Une dimension existentielle. Globalement, l'Existence possède une géométrie fractale symétrique et logarithmique. Par conséquent, nous pouvons parler d'une Existence infinie et logarithmique, scindée en systèmes stables et symétriques, les particules D - c'est-à-dire les Multivers : L'Existence = log M ∞ ou L'Existence = log ∞ M

Dans des conditions générales, les particules D émettent leur lumière en permanence et dans toutes les directions, ont des tailles quasiment identiques, sont espacées approximativement de la même distance et occupent un même volume... L'énergie provenant de toutes les directions traverse les particules D, et seulement une petite partie - de cette énergie (les photons de leur propre dimension) - est retenue.

L'énergie qu'une particule D émet est, généralement, équivalente à celle qu'elle reçoit ; en somme, elle émet autant de lumière qu'elle en capte : Δ énergie émise = Δ énergie reçue ; Ee - Er = 0 ; ΔEe - ΔEr = 0

En même temps, l'énergie totale de la particule D, c'est une tout autre chose. Pour comprendre cela, pensez à une étoile qui émet un peu de lumière, comparée à la quantité totale d'énergie qu'elle contient. L'énergie totale de la particule D est infinie. Mais l'énergie en interaction avec les autres particules D est limitée et quantifiable = v x h...

Si une quantité d'énergie plus importante que celle habituelle touche une particule D, elle est retransmise ; en même temps la particule D se met en mouvement, provoquant une onde de lumière, ou donnant naissance à une charge électrique ou magnétique. La particule D touchée par cette énergie reviendra, approximativement, sur sa position initiale... mais, pour un bref instant, elle a engendré un mouvement d'ondulation qui se transmettra aux autres, puis aux autres...

Autour de cette énergie qui se transmet - autour de ce vecteur principal de direction → - nous avons une réorganisation de l'énergie que chaque particule D transmet aux autres ; ainsi certaines particules D se soulèvent (ce qui crée les ondulations) jusqu'au niveau d'une rangée adjacente...

Comme tout objet que vous voyez autour de vous, les particules D possèdent aussi une inertie propre : iD = l'inertie de la particule D. Si une particule D était toute seule dans l'espace, son inertie serait nulle (mais une particule D n'est jamais seule dans l'espace). L'inertie de chaque particule D est donnée par les échanges permanents d'énergies avec toutes les autres particules D (le lien, l'attache avec les autres particules D) ; un peu comme un atome qui est bloqué par tous les autres à l'intérieur d'une structure matérielle. Puis, si l'énergie appliquée sur une particule D dépasse son inertie nous aurons un mouvement (comme une onde électromagnétique ou une déformation de l'espace) : iD = la quantité d'énergie au-dessus de laquelle une particule D peut se mettre en mouvement.

1 h (constante de Planck) = une particule D en mouvement

C'est pour cela que cette constante, h, existe : il y a soit 1, soit 2, soit 3, soit 4, etc. particules D en mouvement ; jamais ½, 1½ ou 2½... Parce que soit une particule D est en mouvement soit elle ne l'est pas !

Une énergie équivalente au déplacement d'une particule D sur la distance dD (distance d'une particule D à une autre) est matérialisée par une énergie perceptible dans notre existence : par une quantité h d'énergie (la constante de Planck). Cela ne veut pas dire que la particule D va parcourir à proprement dit cette distance qui la sépare de sa prochaine ; la particule D restera pratiquement à sa place. Mais pour avoir un mouvement qui se propage perpétuellement d'une particule D à une autre - et que ce mouvement soit perceptible à notre échelle - il faut une énergie équivalente à celle pour déplacer une particule D sur la distance dD, ce qui équivaut à une quantité h d'énergie : n x h = n x dD ; v h = v dD ; h = dD.

Nous pouvons aussi définir la constante h comme étant l'énergie d'un électron, eD, multipliée par la distance dD :

h = eD x dD ; h = 8,1871 x 10^-14 x 0,80933 x 10^-20 ; h ≅ 6,626069 x 10^-34 joules/seconde

  • n - nombre entier, ou quantité exacte (1, 2, 3, 4...), toujours un multiple de h
  • v - fréquence de l'énergie h, v = n (nombre), la répétition de l'énergie h
  • h - la constante de Planck = 6,62606957 x 10^-34 (± 0,00000029 x 10^-34) joules/seconde
  • dD - distance d'une particule D à une autre ; dD ≅ 0,80933 x 10^-20 m

Le volume occupé par une particule D équivaut à une énergie précise, eD : eD = l'énergie de la particule D

Cette énergie (eD) est aussi l'énergie équivalente d'un électron ou d'un positron (ou l'énergie requise à la création d'un électron ou d'un positron).

L'iD, qui vaut la quantité d'énergie h, est aussi l'équivalent de la distance dD et de la masse de la particule D multipliée par sa vitesse au carré ; et sa vitesse est la vitesse de la lumière. Par conséquent, en termes énergétiques, suivant les rapports masse vitesse au carré - mC^2 - nous avons :

iD = dD = h = mC^2 = hC^2 = mDC^2 ; mD = h ; h = hC^2 

h = 6,626069 x 10^-34 / (299792458)^2 ; h ≅ 0,7372496 x 10^-50 kg m^2 s^-1 (ou joules/seconde)

  • C - la constante d'Einstein, la vitesse de la lumière = 299 792 458 m/s
  • C^2 - la constante énergétique universelle = 8,9875517873681764 x 10^16
  • iD - l'inertie d'une particule D (l'équivalent d'énergie pour la mettre en mouvement)
  • h - la constante de Planck (ou l'équivalent d'une particule D en mouvement, hC^2)

h - la constante de masse minimale de mouvement (la masse d'une particule D en mouvement, h/C^2) ; toutefois, il ne faut pas penser que cette masse peut se séparer concrètement de son C^2. Comme pour toutes les énergies, en concret cette masse est toujours accompagnée de sa vitesse au carré.


Pour plus d'informations : La Théorie D, Editions Amalthée